Devoir anglais cned ateliers de misere
L'article salue un projet pilote qui a été lancé dans un bon nombre d’usines textiles en Turquie, pays choisi à cause de sa position stratégique comme fournisseur textile et de confection sur le marché mondial. La démarche, menée par l'initiative sur la responsabilisation des entreprises et les droits des travailleurs, est parrainé par six groupes de militants « anti-ateliers de misère » et huit fabricants de vêtements mondiaux ( Nike, Gap...) pour établir un ensemble unique de normes du travail et des lignes directrices communes.
Malheureusement, cette expérience s'avère être insuffisante pour faire de réels progrès dans la mesure où seulement 100 entreprises participent à ce mouvement. Des normes universelles devraient s'imposer aux industries particulières pour éviter que certaines assument le coût de modernisation et de surveillance continue de ses normes de travail alors qu'elles sont en concurrence avec des usines sans les mêmes obligations. Les détaillants mondiaux, eux, préfèrent attendre que se soit le gouvernement qui impose un consensus à ces industries.
Enfin la question d'un salaire minimum, en fonction du niveau de vie des salariés se pose mais reste tout de même controversée, dans la mesure où ce mouvement qui dénonce les abus d'ateliers de misère la considère peu viable.
Pour conclure, je pense qu'un consensus de la part des états dans le but d’améliorer les conditions de travail dans l'industrie textile, avec une harmonisation des normes de contrôle et une négociation sur un code de conduite commun, conduirait à une avancée de la lutte contre les ateliers de misère mais semble difficile a réalisé étant donné l’absence d’autorité centrale mondiale.
EXERCICE 2:
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