De notation Campagne Print Transavia
Visuels divisés en trois photos : Un mannequin, un mannequin qui est dérangé dans son shooting photo, un touriste ou un couple de touristes
Photos en transition : le touriste prend la place du mannequin
Un ballon vient déranger la pose du mannequin, un touriste vient déranger la pose du mannequin.
Un couple de touristes heureux, l’air fière. Un touriste souriant.
Le prix sur la droite ne change pas de place et sur la dernière photo il est mis en avant par un macaron bleu ciel.
Des paysages de vacances (plage, falaises, ciel bleu)
Couleurs dominantes : blanc, vert, bleu
L’accroche est partir pour le prix d’un sac, partez pour le prix d’un bikini
Connotation
Ces visuels mettent en avant une comparaison de prix entre des produits de shopping et un voyage. Le touriste heureux s’incruste dans la photographie qui s’apparente à une publicité de mode. Elle met en avant l’idée que nous avons tous les moyens de partir en vacances grâce aux faibles prix que la compagnie met en place. Les tarifs sont abordables et les destinations sont nombreuses. De prime on pourrait croire à une campagne de mode mais on découvre vite des intrus sur le visuel et qui ont l’air d’être fier de s’afficher aux côtés du mannequin. L’accent est mis sur le low coast : aujourd’hui on peut partir en voyage comme on irait acheter un sac ou un bikini parce que pour le prix d’un sac ou d’un bikini on peut partir en voyage. Cette campagne détourne les codes de la communication : c’est ce que l’on appel le photobombing. Ce principe est simple, c’est l’art de gâcher une photo par un élément dérangeant non attendu, dans le but de suggérer le mouvements et susciter chez la cible l'envie de départ accentué par le prix low cost et le jeu de mot « partez pour le prix d'un bikini »
le print suggéré également que les destinations de choix sur des iles paradisiaques ne sont pas destinés qu'a une certaine catégorie de personne mais est également destiné aux