CYBERCRIMINALITE
Il s’agit donc d’une nouvelle forme de criminalité et de délinquance qui se distingue des formes traditionnelles en ce qu’elle se situe dans un espace virtuel, le « cyberespace ». Depuis quelques années la démocratisation de l’accès à l’informatique et la globalisation des réseaux ont été des facteurs de développement du cybercrime.
Sommaire
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1 Types d'infraction
2 Dispositif législatif et conventionnel de lutte
2.1 Dispositif législatif et réglementaire français
2.2 Convention sur la cybercriminalité du 23 novembre 2001
3 Acteurs
3.1 Cyber délinquants ou cyber criminels, et, victimes
3.2 Organes français de lutte
3.3 Organes européens de lutte
4 Obstacles à la lutte
5 Conséquences économiques
6 Notes et références
7 Voir aussi
7.1 Articles connexes
7.2 Bibliographie
7.3 Liens externes
Types d'infraction[modifier | modifier le code]
On peut alors aujourd’hui regrouper la cybercriminalité en trois types d’infractions : les infractions spécifiques aux technologies de l’information et de la communication : parmi ces infractions, on recense les atteintes aux systèmes de traitement automatisé de données, les traitements non autorisés de données personnelles (comme la cession illicite des informations personnelles), les infractions aux cartes bancaires, les chiffrements non autorisés ou non déclarés ou encore les interceptions. ; les infractions liées aux technologies de l’information et de la communication : cette catégorie regroupe la pédopornographie, l’incitation au terrorisme et à la haine raciale sur internet, les atteintes aux personnes privées et non aux personnages publics, les atteintes aux biens ; les infractions facilitées par les technologies de l’information et de la communication, que sont les escroqueries en ligne, le blanchiment d'argent, la contrefaçon ou toute autre