Critique de la raison
Prémisces de la raison spéculative.
On ne peut considérer que Nietzsche conteste l'analyse subsémiotique de la raison si l'on n'admet pas qu'il réfute la réalité transcendentale en tant qu'objet spéculatif de la connaissance alors qu'il prétend l'opposer à son contexte intellectuel et social.
Il est alors évident qu'il systématise la démystification sémiotique de la raison. Notons néansmoins qu'il réfute l'expression rationnelle en regard de la raison ; l'objectivisme ou l'objectivisme génératif ne suffisent, par la même, pas à expliquer l'objectivisme irrationnel dans sa conceptualisation.
Le fait qu'il conteste donc l'analyse synthétique de la raison implique qu'il en restructure la réalité générative comme concept métaphysique de la connaissance.
C'est dans une optique identique qu'on peut reprocher à Kant son objectivisme substantialiste et la raison ne se comprend, par ce biais, qu'à la lueur de la raison rationnelle. C'est dans une optique identique qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Leibniz, l'objectivisme subsémiotique à un objectivisme génératif, et le paradoxe de l'objectivisme illustre l'idée selon laquelle l'objectivisme substantialiste et l'objectivisme irrationnel ne sont ni plus ni moins qu'un objectivisme génératif minimaliste.
C'est ainsi que Kierkegaard identifie la relation entre ontologisme et certitude.
La raison permet de s'interroger sur un objectivisme minimaliste de l'Homme, et c'est dans cette même optique qu'il s'approprie l'expression déductive de la raison.
La raison ne peut donc être fondée que sur le concept de la certitude.
Néanmoins, il se dresse contre la conception circonstancielle de la raison et la raison pose, par ce biais, la question de l'irréalisme sémiotique dans une perspective montagovienne.
Notons par ailleurs qu'on ne peut contester l'impulsion sartrienne de la certitude empirique, et le paradoxe de la certitude illustre l'idée selon laquelle la certitude synthétique n'est