CORPUS
(L.10à 11 « excepte un petit nombre d'habitants forts peu considérés, tout le reste est un assemblage de fous, de méchants et de malheureux »)
on constate que c'est au nom d'autre hommes qu'ils font ces disputes etc... (césar, sultan mais des hommes qu'ils n'auront jamais vu et ils ne se battent même pas pour eux mais pour des lopins de terre, pour des propriétés.
2) réaction du Sirien :
le Sirien est frémit et ne comprend pas pourquoi ces querelles il est indigné et voudrait les écraser il est aussi ému par les contrastes entre les hommes.
Le lecteur frémit à son tour car des êtres aussi petits que le sont les hommes sont capables des pires horreurs, ils s'entretuent entre hommes, ils se massacrent même. Le plus petit est capable du plus grand mal, ce qui fait peur au géant mais également au lecteur, notamment en tant qu'être faisant partie de cette espèce ; Il est également dans le même état d'esprit d'incompréhension que le Sirien car ces guerres n'ont qu'un but superficiel, les hommes se battent sans savoir réellement pour quoi et surtout pour qui, d'où le passage à un sentiment non plus de peur mais d'indignation face à cette folie et cette bêtise et la volonté de mettre fin à toute cette bêtise tout comme le géant. Mais ensuite, après les explication du philosophe qui montrent que les hommes qui se battent ne sont que les marionnettes d'autre hommes, eux sont à l'abri et ordonnent ces massacres. Alors le géant est ému par ces contrastes entres les