‘’ L’accoutumance à un produit, une drogue, une boisson.
L’addiction pure et simple. ‘’

Je ne m’en lasserai jamais.

J’aurai pu vous parler de ses fichues clopes, mais j’ai préférée prendre l’extrême. “ T’as pas un shoot pour moi ? “, Voici la phrase que tout toxicomane répète à longueur de journée, allant même jusqu’à faire le trottoir pour se payer sa dope. L’addiction à l’héroïne transforme peu à peu les camés en véritables morts vivants, changeant même leurs comportements qui deviennent eux aussi à leurs tours semblables à ceux d’animaux sauvages. Personnellement, j’opterai pour un effet de déshumanisation de la personne. Non ? Cette addiction touche un certains nombre de personnes dans la vie de tous les jours, faits plusieurs mort chaque années. Elles les amènent à une violence non contrôlable. Une façon de se sortir de cet enfer est possible, le sevrage. La chose la plus dur qu’un toxicomane va entreprendre, s’il ne se souciait plus de son travail, et des choses autrefois importantes, il va devoir désormais apprendre à contrôler l’appel de la drogue du diable. Le sevrage provoque de nombreux symptômes accentués comme, l’insomnie, la crispation des membres, vomissements à répétitions, de la fièvre Et tous autres aspects désagréables lié a cette guérison difficile. Cependant, après avoir débattus sur l’héroïne, une autre forme d’addiction se doit d’être mentionnée. L’amour. On peut la qualifier comme une accoutumance à la personne, quelque chose d’aussi puissant que l’héroïne. L’amour peut lui aussi nous faire faire des choses contre nos grés, allant de l’espionnage, à l’harcèlement. Cette forme de “drogue“ change les personnes, les rendent complètement à l’ouest ou bien au contraire totalement dépressives. Un amour trop fort peut anéantir une personne, tout comme une prise d’héroïne trop importante, il peut amener à une paranoïa extrême, allant jusqu’au meurtre, ou un suicide. Ou alors au contraire lorsque l’amour est passionnel, le simple fait