Les fondements de l’EI reposent sur des théories et des analyses traditionnelles modernes. Ces théories et analyses sont dites libérales et néolibérales Elles s’appuient sur l’explication de l’EI à partir des Etats-nations mais aussi des FMN (firmes multinationales) Pourquoi passe t’on des théories traditionnelles vers les théories modernes ? En quoi les théories modernes transforment t’elles le modèle de concurrence pure et parfaite de départ ? Les analyses traditionnelles seront présentées, ensuite on mettra en évidence l’impact des analyses modernes pour expliquer le commerce international I – Examen des théories traditionnelles libérales et néolibérales de L’ECONOMIE internationale {text:list-item} {text:list-item} Adam Smith : A développé la théorie des avantages absolus pour expliquer l’économie internationale, le modèle retenu par Adam Smith est celui de la concurrence pure et parfaite. Le facteur de référence c’est le travail, le coût en travail c’est le salaire et la notion de l’efficacité retenu c’est l productivité du travail. Pour Adam Smith, un pays qui respecte les 2 critères : coût salarial bas + productivité du travail, est obligé de suivre la spécialisation absolue. La théorie d’Adam Smith est très limitée à un produit, ce qui a entraine la thèse de David Ricardo David Ricardo : et la théorie des avantages comparatifs (=relatifs) Le modèle économique est celui de la concurrence pure et parfaite, le facteur retenu est le facteur travail, les biens de référence sont le vin et le drap (biens interbranches). Pour Ricardo l’échange international favorise la spécialisation relative et la croissance économique. AS et DR établissent les conditions de compréhension de la division internationale du travail, de la spécialisation des pays et de la croissance réciproque. {text:list-item} Le raisonnement économique se fait sur un produit voir 2 (vin, drap) Immobilité des