Commentaire de texte sur un extrait du chapitre onze de l’homme a l’envers de Vargas.

Fred Vargas auteur de plusieurs roman policier et archéologue, raconte dans ce texte l’histoire de plusieurs meurtres de brebis ou s’ajoute le meurtre de quatre personnes. Les trois personnages principaux Camille, Lawrence et Adamsberg, accompagnés de deux personnes qui veulent venger l’une des personnes assassinée, cherchent à retrouver le meurtrier, sans savoir qu’il fait parti du groupe. Dans ce passage nous nous intéresseront au personnage d’Adamsberg et pour mieux comprendre la situation et le personnage, nous pouvons nous demander comment ce passage métaphorique révèle-t-il l’originalité de celui-ci. Et pour cela nous aborderons tout d’abord la marre d’idées présente dans cet extrait puis la domination de l’esprit d’Adamsberg.

Pour commencer, nous aborderons le nom du bar dans le quel ce trouve Adamsberg, les champs lexicaux de la mer et pour finir l’idée d’abondance.

Nous pouvons dire que ce passage est métaphorique car celui-ci se réfère a la mer nous le remarquons des le début de l’extrait par le nom du bar dans le quel se trouve Adamsberg qui est « Les Eaux Noires de Dublin » qui est un bar « d’Irlandais buveurs et gueulards » dans le quel Adamsberg se refuge pour réfléchir pensant « être l’un des derniers types de la planète a ne pas connaitre un mot d’anglais » se qui au contraire des français n’embarrasse pas son esprit par leurs conversations. Nous remarquons aussi une très forte présence de mots qui se réfère a la mer comme lors de la description de la mémoire d’Adamsberg ou nous trouvons les mots « surnager, poisson, crête de eaux, pécheurs, épuisette, filet, crevette, sable, algues,… » Qui permettent de mieux comprendre la façon de travailler de son cerveau, qui parait assez complexe qui avec des métaphores est plus accessible et compréhensible. L’idées d’abondance dans cet extrait est reflété part la mer qui est majoritairement présent sur terre, dans