Commentaire composé chapitre 2 pierre et jean
Pierre apprend que Maréchal était allé chercher le médecin, comme s'il était plus qu'un ami => doute de Pierre.
Ensuite, Jean part se promener suivi peu après par Pierre qui a besoin de solitude à cause de son énervement et de son dégoût.
Pierre arrive à analyser ses réactions, dédoublant ainsi sa personnalité. Il fait un lien entre son errance intérieure et extérieure. I - La promenade et le regard objectif du personnage Itinéraire improvisé qui le conduit progressivement de la demeure parentale vers la mer, c'est-à-dire du bruit au silence, de la lumière à l'obscurité, et de la compagnie familiale à la solitude.
Utilisation fréquente de verbes de mouvement qui montrent le déplacement. Les adverbes, quant à eux, montrent le ralentissent et l'absence de dynamisme.
=> Il déambule passivement.
On note un accord entre le paysage et son état d'âme : il est perdu dans ses pensées comme dans sa promenade.
Il utilise des termes empruntés au domaine médical afin de décrire son malaise.
Gradation et accumulation de verbes qui notent le malaise croissant.
L'état de souffrance est également noté par une assonance en " c " et une allitération en " tr ".
Pierre, en tant que médecin, découvre qu'il a un problème physiologique dont il est incapable de donner la nature exacte.
On s'attendait à une promenade d'un soir et on découvre qu'il s'agit d'un malaise profond qui tend à l'obsession, ce qui va le pousser à une auto-analyse.
II - L'auto-analyse Visible par 3 interrogations successives au discours direct.
Gradation dans la recherche mentale du personnage : on part d'une première question ambiguë jusqu'au mot précis d' " héritage " d'où découle son malaise.
Ces questions restent sans réponse, ce qui