Combustion des humains
La curiosité chez les êtres humains existe depuis toujours. Un des grands stimulateurs pour celle-ci se trouve à être l’inexpliqué, le mystère. Cet intérêt pour les énigmes suscite l’évolution de plusieurs domaines, comme la science. Aujourd’hui, nous tenterons de vous éclairer sur le sujet de la combustion humaine spontanée. Comment les chercheurs ont-ils tenté d’expliquer la combustion humaine spontanée? Nous commencerons par vous présenté un cas typique, puis nous vous présenterons les hypothèses des investigateurs.
Cas typique
Tout d’abord, les chercheurs ont catalogué la victime le plus typé. Cette victime se trouverait seule dans un endroit au moment de la combustion de son corps, c’est-à-dire quand elle prend en feu. En général, cette personne serait en âge mûr, solitaire, relativement en bonne santé, parfois même alcoolique. Les enquêteurs contastent que le corps calciné aurait brûlé à une température entre 1 650 et 2 000 ˙C pendant un certain temps. Fait étrange, pour atteindre une telle chaleur, il faut absolument une source externe de combustible, comme de l’essence ou du parfum. Aussi, le corps humain se trouve à être difficilement brûlable, vu qu’il est composé à 70% d’eau. Seuls les bouts de mains et des jambes resteraient intacts. De plus, une substance brune et graisseuse se situait sur les murs et le plafond près de corps retrouvé. La carcasse se trouvait dans un positon naturel, comme si la mort s’était rapidement emparée d’elle. Le brasier semblerait ne s’être acharné que sur le corps, vu que les alentours de la dépouille sont idem. Plusieurs cas de combustion humaine spontanée aurait été répertorié entre les années 1660 et 1990. Un des plus connus se trouve à être Marry Reeves, en 1951 à Paris. Cette quidam aurait été trouvé chez elle par sa voisine, calcinée et assis sur son sofa. Aussi, un cas plutôt populaire est le cas Français d’Urrufe : en 1978, une femme vivant une vie discrète et effacée est