Conférence de Arkéotopia
J’ai assisté à la conférence de Mr. Jean-Olivier, archéologue et président d’arkéotopia. Dans sa conférence « Bâton percé préhistorique et cow-boy contemporain, apports et rapports », Mr. Jean-Olivier définit l’archéologie comme étant la discipline scientifique qui étudie les objets fabriqués par l’humain selon divers arts et techniques. Cet archéologue à consacré beaucoup de temps à l’étude du bâton percé, objet mystérieux fabriqué avec des ramures de cervidé. Cet objet comporte un manche, un trou et généralement des excroissances pointues. Les archéologues ont décelés près de 35 utilités possibles du bâton percé. Au tout début, de façon subjective, un archéologue s’est avancé en disant qu’il s’agissait d’un bâton de commandement. Par la suite, selon l’ethnologie (étude des caractères des populations primitives) des Inuits, les archéologues ont cru qu’il s’agissait plutôt d’un redresseur de sagaie parce-que ce bâton ressemblait étrangement à ce type d’outil primitif. Avec les années, plusieurs idées sont sorties du lot, par exemple : tendeur de corde, piège pour la chasse, perche à lassot ou même vilebrequin. Il y a quelques années seulement, un archéologue, ami de Mr. Jean-Olivier, à visité Billy Braith, un cow-boy contemporain utilisant un outil très semblable au bâton percé pour fabriquer des cordes à l’aide de poils de crinière de cheval. Grâce à de longues études, les archéologues ont découvert que la véritable utilisation du bâton percé était de fabriquer ce type de cordage. Ceci démontre clairement que cette technique à stagnée durant des milliers d’année. Selon leurs études, les archéologues ont pu déduire que l’utilisation du bâton percé à débuté en Europe lors de l’ère Paléolithique, elle aurait ensuite évoluée chez les Vaqueros du Mexique pour enfin se transmettre au cow-boy américain. Ceci explique que le savoir humain n’est pas nécessairement plus avancé maintenant qu’avant puisque