Désormais... je t'aimais tant.

Crie, Hurle, Pleure... Je ne sourirais que quand ton malheur sera à son apogée. Je t'aime tant, quand tu souffres. Je t'aime tant quand tu te repentis de tes péchés. Je t'aime tant quand tu me supplies de te pardonner. Oh, mon amour... si seulement tu ne m'avais pas trahie, aujourd'hui, peut être que ton sourire me ferait plaisir plutot que tes cris d'agonie. Je t'aime tant, mais avant je t'aimais bien plus. Ton rire à mes yeux se confondait à une douce mélodie, oh! Marie, si seulement tu ne m'avais pas trahie. Qu'avait-il de plus que moi? Qu'avais-je de moins que lui? Qu'à t-il donner pour t'avoir, qu'as tu vu pour l'aimer, qu'ai-je fait pour t'égarer et te retrouver si lamentable? Tu es revenue en rampant à mes pieds, et le visage en larme, tu t'es lamentée. Il t'avait trahie comme toi tu l'avais fait et c'est auprès de moi que tu es venu chercher une once de pitié. Seulement, Marie, est-ce moi qui suis fou de ne voir en tes actes que de l'égoïsme? Ou est-ce toi qui, brisée, a perdu l'esprit en pensant que je te pardonnerai? Ma main sur ton coeur, j'ai senti ton rythme cardiaque s'accélérer. Avais-tu peur? Bien sur que oui. Tu t'attendais à ce que je te sers contre moi, heureux que tu sois de nouveau là, cependant, au lieu de cela, c'est mon regard noir qui te transperça. Tu voulues certainement t'enfuir. Croyais-tu que tu y arriverais? Croyais-tu sincèrement que tu passerais le pas de cette porte encore entière? Cette pensée du s'évanouir de ton esprit chamboulée, au moment où, tendrement, j'ai arraché tes doux cheveux blonds de ton crâne. Tu as hurlé, c'était plaisant. Tu m'as bousculé essayant de courir vers la sortie.... croyais-tu vraiment t'en sortir..? Oh Marie... si tu savais comme je t'ai aimé... comme j'ai prié pour rester avec toi toute l'éternité...il est dommage que tu sois partie en premier. Tu ne pourras plus répondre de rien, j'avais tant de question à te poser... les points resteront