Bruges et Venise
1. La situation géographique de ces deux villes et leur proximité par rapport à la mer, favorise nettement leur vocation commerciale et maritime.
A l’époque leséchanges commerciaux se faisaient surtout par voie maritime. Bruges a l’accès rapide et direct à la mer et peut facilement communiquer avec les marchés hanséatiques et atlantiques. Quand à Venise, entouréed’eau, son empire marchand couvre toute la méditerranée orientale.
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3. La « colleganza », et sorte d’associations entre commerçants et investisseurs, qui permet de limiter les risques en casde problèmes . Ainsi le commerçant ne sera pas seul à perdre et perdra moins.
L’investisseur a bien une part de risques mais il obtient la moitié des bénéfices sans avoir besoin d’intervenir.
Lalettre de change, permet de limiter les risques liés aux transports d’argent liquide et constitue une forme de crédit.
4. Bruges importe des Harengs en provenance des villes hanséatiques, des peaux,de la fourrure et du blé du Grand-duché de Lituanie, de la laine du Royaume d’Angleterre ainsi que du sel et sans doute du vin de France. Bruges est une grande ville productrice de textile et en estdonc également exportatrice.
Selon l’auteur, Bruges est supérieur à Venise, car l’on y croise des marchands de toute provenance, alors qu’à Venise n’est pas exportatrice car les terres restreintent dela lagune empêche de cultiver.
5. En 1280 les marchands et artisans des communs son fort mécontents des charges fiscales supplémentaires de la « Keure » qu’ils doivent acquitter, imposée par leséchevins du conseille, cette charte dépasse le pouvoir des commun qui ne sont pas en mesure de payer les charges.
Alors, les communs on envoyés des lettres de doléance demandant au échevins de révisésavec eux les keures pour pouvoir choisir leur sorts et connaître chaque années l’utilisation des charges remplies durant l’année.