Arthur rimbaud - le dormeur du val
Comment se rend-on compte de la mort du personnage ?
Dans ce texte on peut remarquer des personnifications dans les premiers quatrains tels que vers 1 & 2, il décrit la nature, le paysage comme si c’était le meilleur monde, un peu magique, le monde parfait où tout le monde fait la fête. Et on peut remarque que la rivière a quelque chose de magique, il la décrit comme chantante, comme si il y avait une petite fée, ce qui revient au monde magique.
On peut aussi voir que l’auteur décrit le personnage dans un ordre bien précis, c'est-à-dire qu’il commence par le haut du corps, la tête la bouche et la nuque puis descend vers les pieds. Il remonte ensuite vers la poitrine et c’est comme si il découvrait pourquoi il reste immobile et comprend pourquoi il ne ressent et ne sens rien.
Nous pouvons aussi voir qu’il y a beaucoup de champs lexicaux concernant le repos, surtout dans les 2 quatrains et le premier tercet, quand nous lisons cela, on a l’impression que tout est normal, et qu’il dort vraiment profondément. Tandis que dans le dernier tercet, l’auteur nous décrit comment il est, et on s’aperçoit petit à petit qu’il est mort.
On remarque aussi que l’auteur essaie vraiment de faire de ce troue de verdure un endroit vraiment agréable et confortable, car quand il dit 2 ‘la ou la lumière pleut’ on l’imagine vraiment sous un arbre avec tellement de feuillage qu’il ne laisse seulement passer que des petits rayons de lumière ce qui doit le rendre vraiment bien. L’auteur décrit vraiment tout pour qu’on ait l’impression que la nature accueil vraiment bien le personnage et pour que rien ni personne ne le dérange.
Dans le premier tercet, quand l’auteur nous décris l’état du soldat, il dit ‘Souriant comme souriait un enfant malade’, cela nous donne l’impression que c’est un sourire un peu forcé, crispé et qu’il n’a pas l’air