Apprend t-on de nos bêtises et des leçons que nous donne nos parents ? Telle est la question. Certaines personnes vous diront que l’on apprend de nos bêtises parce qu’on connaît donc les conséquences et évitons de recommencer. Ainsi j’ai entrainé mon frère à monter sur les climatiseurs et tout d’un coup, il a perdu l’équilibre et est tombé. J’ai tellement eu peur qu’il soit mort que je n’ai jamais recommencé. On comprend aussi mieux lorsque l’on fait nos propres expériences, surement parce qu’on sait a quoi s’attendre. Mais d’autres personnes vous diront que nous somme trop jeune pour comprendre nos actes. Un enfant de 5ans ne sait pas que jouer avec des allumettes est dangereux, il continuera donc a jouer avec jusqu’au jour ou il se brulera. Les conséquences de nos bêtises sont parfois graves et inchangeables. Antoine dans «les quartes-cent coups » dit à son professeur que sa maman est morte, ce qui est faux, mais une fois le mensonge dit, il est impossible de revenir en arrière. Des fois nos actes nous donnent un sentiment de culpabilité mais ce sentiment n’est pas formateur. Dans le livre « Elle s’appelait Sarah », la jeune fille enferme son petit frère de 4ans dans un placard en espérant le protéger mais une semaine après elle va le chercher et le retrouve mort. Toute sa vie elle s’en ait voulue et a finis par se suicider car cette culpabilité la rongeais de trop. D’une autre part certaines personnes vous diront que l’on n’apprend pas des leçons des adultes. Surement parce que l’interdit est attirant. Combien de personnes nous ont données leurs téléphones en nous disant « ne lis pas mes messages » ? Et par cette grande tentation de savoir ce qu’il pourrait bien cacher, aller lire ces messages. Tous ces parents qui disent à leur enfant de ne pas boire d’alcool parce que cela tue alors qu’eux même en boivent, nos parents seraient – ils suicidaire ? Cependant certaines personnes diront aussi que l’on apprend des leçons des adultes. Toutes personnes adultes a