La situation se déroule au sein de l’Institut Paoli Calmettes le vendredi 25 septembre 2014 à 10h00 dans le service de chirurgie ambulatoire.
Madame G, âgée de 39 ans est entrée dans le service pour une reconstruction mammaire suite a une mastectomie en 2012.
J’installe Madame G dans un box, me présente, je lui laisse le temps de s’installer et de se mettre en tenue de bloc. Je retourne voir la patiente une fois que celle-ci est prête, je lui explique brièvement le déroulement de la journée en lui précisant qu’elle n’hésite pas à nous solliciter si besoin. Ensuite, prise de constantes après vérification de son identité (bracelet, passeport d’entrée). Je m’assure également que Madame G soit bien à jeun. La patiente est anxieuse à l’idée de subir une nouvelle intervention chirurgicale, elle me pose beaucoup de questions sur l’intervention. Je la rassure comme je peux en lui disant que je me chargerai de téléphoner à son mari au moment de son réveil, et lui explique le déroulement des 2 heures a venir et préfère prendre l’initiative de lui dire que l’infirmière passera la voir avant son intervention pour plus de précisions car je ne me sent pas prête de lui expliquer le déroulement de l’opération .
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Je retourne dans la salle principale et vérifie qu’il n’y ait pas d’autres prescriptions du médecin sur l’ordinateur (rôle prescrit), je m’aperçois donc que le médecin du service lui a prescrit un bilan biologique standard (NFS plaquettes, Ionogramme sanguin, TP )car avant tout geste nécessitant une anesthésie générale il est nécessaire de faire un bilan sanguin au cas ou une transfusion devait être pratiquée en urgence et dépister un trouble de la coagulation afin de prévenir tout risque d’hémorragie, donc avec l’accord de l’infirmière je réalise son bilan.
Je prépare donc mon plateau : - des gants (non stériles)
- un corps de pompe
- des aiguilles spécifiques (deux)
- un garrot décontaminé
- compresses non stérile: 1 sèche, 1 avec de