Analyse du texte Nous sommes devant un texte philosophique, ou l’auteur fait une comparaison entre la parole et l’écriture, deux arts différents. Il nous présente la trahissante parole. Pour lui parler est presque un crime commis par l’être humain et cela se voit clairement à travers son vocabulaire subjectif (terrible, mal, trahis). Nous pouvons, aussi remarquer qu’il y a allusion à l’écriture dès la première partie du texte « impossible de raturer ». Ce qui déjà nous laisse deviner la préférence de l’auteur. Nous pouvons constater aussi que l’auteur a peur des dires des gens, car pour lui ; parler fait que les gens le jugent « les mots dis n’arrêtent pas de parler de vous » et disent du mal de lui ou de ce qu’il a dit « et d’en parler mal ». Il arrive jusqu’à comparer la parole à la folie à travers la métaphore « parler c’est fou ». Pour passer à l’écriture, l’auteur utilise « tandis que » une conjonction avec la quelle il exprime son opposition à la parole. L’auteur nous présente son amie ; la feuille blanche. Et dès les deux premières phrases, nous pouvons remarquer la solitude de l’auteur ; le noire et un faible éclairage juste pour voir sa feuille, un enfermement total sur lui-même « je ferme la porte ».
L’écrivain utilise les mots : propice et familier pour parler d’une feuille, ce qui nous laisse penser qu’il se sent plus en sécurité dans cette chambre noire avec sa feuille que dehors, là ou il y a du mouvement. Pour lui son petit espace et le vide qui l’entour ce sont ses amis, même le crayon et le stylo sont ses amis. « Un ami léger qui veille à ne pas faire souffrir », une phrase significative » souffrir c’est ce qui donne envi à l’auteur d’opter à la solitude, il ne veut pas souffrir. Cette feuille pour lui est un symbole de patience et de gentillesse, il pourrais même la déchirer et elle reste là, et l’aide. Ainsi, nous pouvons dire que l’auteur est symbolique, car il utilise des symboles, pour définir des sentiments qui doivent