Analyse de la lumière d’une séquence d’Alphaville de Jean-luc Godard.
(De 1minutes13 à 2minutes38)
Alphaville est un film de Jean-luc Godard réalisé en 1965. Ce film de science fiction à reçu l’ours d’or au festival du film de Berlin en 1965. J’ai choisi d’analyser les effets de lumière du début du film.

Après le générique de début, le film ouvre sur un phare de voiture qui clignote. Le phare est au centre de l’écran. Il n’y a que du noir autour. C’est un flash de lumière en plein centre qui fait penser à un code en morse. Lorsque la voix off débute, on bascule sur un plan d’immeuble dans la nuit, la seule source de lumière vient des fenêtres des immeubles. C’est un éclairage « naturel ».Ces plans de ville ne sont pas un effet de lumière contrôlée, cela donne un réalisme au film, et en même temps une ambiance familière au spectateur, un décor que les spectateurs fréquente au quotidien.
Le plan suivant a un effet de lumière plus travaillé. En effet, on ne distingue que les mains et le volant, le presque est plongé dans le noir. On comprend dés lors, qu’il s’agit d’un homme dans une voiture, qui doit surement attendre quelque chose ou quelqu’un. Puis l’homme s’allume une cigarette et l’on découvre enfin sont visage. Le même effet de lumière revient dès que la flamme du briquet s’éteint. Cet effet de lumière suffit à nous laisser voir le plus important, les mains de l’homme et le pistolet qu’il tient. On peut penser qu’on à recréé la lumière d’un lampadaire, la lumière ne viens pas de face, mais d’au dessus, je pense à un angle de 45°ou peut être de 60°, une douche de lumière ne rendrais pas le même effet.
A 2minutes02 on à de nouveau le plan sur le phare de voiture, qui ici signifie le départ de la voiture. S’en suis d’une flèche lumineuse qui se détache de l’arrière plan noir, qui suggère la direction que prend la voiture de notre homme armé. On revoit les plans de la ville, mais cette fois ci, on glisse sur la voiture avec les phares face à nous pour faire