analyse littéraire Zadig
Le Siècles des Lumières, au 18e siècle, est marqué par plusieurs grands philosophes. L’un d’eux, Voltaire, participa activement à l’écriture de L’Encyclopédie et inventa le compte philosophique. L’extrait de L’ermite tiré d’un de ses comptes les plus connus, Zadig ou la destinée publié en 1748, raconte de la transformation de celui-ci en l’ange Jesrad afin d’expliquer le sens de ses actions précédentes et de celle de Zadig, à l’aide de notions sur le malheur et le destin. Il va ainsi tenté de lui faire comprendre en lui enseignant certains principes du mal et de la destinée.
Premièrement, l’ermite cherche à informer Zadig sur la destinée. Il commence en lui expliquant son l’origine, parce que c’est quelque chose que l’Homme ne peut pas comprendre puisqu’il ne la contrôle pas. Tout d’abord, L’ermite utilise la périphrase lorsqu’il dit « [...] selon les ordres immuables de celui qui embrasse tout. » afin de valoriser Dieu. Il démontre ansi que l’ordre des choses dépend de quelqu’un de plus grand, qui dépasse les capacités humaines. Aussi, la répétition du mot hasard dans l’extrait « Les hommes pensent que cet enfant qui vient de mourir est tombé dans l’eau par hasard, que c’est par un même hasard que cette maison est brûlée; mais il n’y a point de hasard [...] » crée une insistance sur le fait que justement rien n’est laissé au hasard. L’Homme ne contrôle pas sa destiné, tout à déjà été prévu par quelqu’un d’autre. Ensuite, l’ermite enseigne la destiné à Zadig à l’aide d’exemples de ses aventures. Celui du neveu noyer prouve que peut importe l’ordre des événements, le résultat aurait été le même : « S’il avait été vetueux, et s’il avait vécu, son destin était d’être assassiné lui-même avec la femme qu’il devait épouser, et le fils qui en devait naître ». Ainsi, la destiné de ce garçon était déjà planifier bien avant sa naissance, personne ne pouvait changer son destin. Pour terminer, l’ermite prouver à Zadig qu’il