Analyse le serpent qui danse, de baudelaire
Identifiez et commentez le jeu sur les sonorités aux vers 9-11 ? v.23 ? v.27-28 ?
Lisez le sonnet précédent (« Avec ses vêtements ondoyants et nacrés ») et repérez les points communs. Dans le serpent qui danse, Baudelaire parle de la peau de la femme, de sa chevelure de ses yeux, de son visage, de sa bouche (dents).
Dans ce poème la sensation d’admirationdomine. Il éprouve un sentiment fort pour Jeanne duval (femme métisse qu’il aime, il la surnomme la Venus noire). L’amour charnel et la passion sont des sensations que Baudelaire décide de partager avec le lecteur
Baudelaire fait l’éloge de Jeanne Duval, nous pouvons le voir grâce à la comparaison qu’il fait de son corps avec « une étoffe vacillante » v.3 Il fait un rappel à l’exotisme de Jeanne duval avec les termes « aux âcres parfums » v.6 « l’élephant » v.24. Ses yeux sont comparés à des « bijoux froids » car il dit que rien ne s’y révèle.. Il y a également une métaphore filée de la mer et des liquides qui connote l'évasion, le voyage Champ lexical de la paresse : paresse, mollesse. Changement de position, Jeanne s'allonge, la pose devient lascive. Elle semble s'offrir aux désirs du poète.
Connotations négatives : Rien ne s’élève, abandon, fardeau. Ces mots signifient que Jeanne Duval finit par s’abandonner totalement au plaisir qu’elle éprouve de son contact [à continuer]