Analyse de pratique insuline
Lieu : Le soin a été réalisé la première semaine de mon stage en soins de suite et réadaptation , auprès d’une patiente diabétique de type 1 (insulino-dépendant) dans la chambre de celle-ci et la préparation de l’insuline a été réalisé en salle de soin 30 minutes avant les repas après avoir fait une glycémie capillaire. C’est l’injection de l’insuline sous la peau à l’aide d’une seringue, afin de maintenir un taux normal de sucre dans le sang, et de prévenir ou diminuer les complications du diabète
Situation ou activité vue ou réalisée : Après avoir réalisé un prélèvement capillaire, j’ai pu remarquer que le taux de glycémie de la patiente était de 2,45 g/L. Ce taux est donc supérieur à la norme (Entre 0,8 g/L et 1,20g/L) . Selon la prescription médicale, j’ai donc du réaliser une injection de 4UI d’Actrapid (car Dextro compris entre 2 et 3g/L, selon prescription médicale ) pour répondre au besoin éviter les danger. Cet acte est fait parti du rôle propre infirmier en référence au décret du 29 juillet 2004 du code de la santé publique. La réalisation d’une injection d’insuline s’effectue avec une seringue 1ml/100UI a usage unique , le flacon d’insuline actrapid , un coton , un antiseptique , un haricot et un container à aiguille en piquant au niveau de la partie externe des bras, dans l’abdomen ou au niveau de la partie antérieure des cuisses ou de la partie supérieure externe des fesses.
Je prépare l’insuline en prenant garde a ce qu’il n’y ai pas de bulles d’air , ce qui n’aurait pas de conséquences si on l’injecte sous la peau mais qui conduirais a une dose injectée plus faible. Puis je me rend donc dans la chambre de la patiente, je la préviens du soins que je vais réaliser et lui demande ou elle préfère que je réalise l’injection pour avoir son consentement. Selon sa demande, je la fais au niveau de la partir externe du bras, j’effectue un pli cutané, j’aseptise avec de l’alcool la