Prac culture
J'ai choisi de présenter la situation de Madame L, âgé de 91 ans, entrée dans cet établissement depuis 2 ans pour maintient à domicile difficile. Veuve depuis 5 ans, elle a 2 enfants assez présent. Elle est prise en charge par la sécurité sociale et par la mutuelle.
Madame L est bretonne, de religion Catholique et pratiquante depuis son plus jeune âge.
La situation choisie concerne les soins de prélèvement capillaires. Madame L étant diabétique Insulinodépendante. Les injections d'insuline sont effectués, le soir pour que la glycémie (concentration de glucose dans le sang) soit maintenue autour d'une valeur constante, son approvisionnement doit donc être assuré en permanence. La glycémie est le moyen de surveillance quotidien du patient diabétique.
En ce qui concerne ses habitudes de vie, elle est autonome, (elle a la faculté d'agir par elle-même) pour la toilette quotidienne et aime prendre le déjeuné en salle avec son amie des 8h, avec qui elle aime échanger. Elle se lève aux alentours de 7h30, se lave, s'habille, se prépare pour aller prendre le petit-déjeuné, puis avant d'aller en salle, elle attend dans sa chambre qu'on arrive pour effectuer le prélèvement capillaire (la glycémie étant dosée à jeun). Pour les catholiques, la pudeur apparaît dans la bible quand Adam et Ève mangent le fruit de l'arbre défendu. Une nudité relative et tolérée pour les bras et une partie des jambes. Les prélèvements capillaires sont réalisés par une ponction au niveau de l’extrémité du doigt pour recueillir une goutte de sang, qui sera ensuite analysées par une bandelette réactive qui indiquera par la suite le taux de sucre dans le sang.
Avant le déroulement du soins, j'ai suivi les transmissions afin d'acquérir les informations suffisante pour Madame L. De plus, j'ai identifier les besoins