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b) Italie
Depuis 2002, l’agriculture biologique Italienne a décru.
Il existe des aides de développement pour les agriculteurs Bio.
La vision de l’agriculture Bio est perçue par les Italiens comme une alimentation saine, contrôlée et garantie à l’inverse de la culture OGM.
Relancement de l’économie Bio Italienne en lien avec l’agriculture Bio en 2005, ce marché reste cependant atomisé.
La dualité reste forte entre le Nord et le Sud : dans le Sud et les iles se trouvent 60% de la production biologique (surtout fourrages, grandes cultures, pâturages, fruits etc.) tandis que, dans le Nord, se concentrent les productions animales, les entreprises de transformation et les consommateurs.
L’agriculture biologique figure parmi les priorités agricoles nationales.
Il existe des crétations d’association d’entreprise
Développement de magasins spécialisés dans la vente de produits biologique ainsi que dans les GMS même s’il reste faible.
L’art 59 de la Loi de finances 2001 vise à développer la consommation des produits bio : « … les cantines des institutions publiques utiliseront des produits biologiques dans tous les repas… ».
Arabie Saoudite
Le marché de la volaille est très concurrentiel nationalement et internationalement et arrive à maturité. Un kilo de poulets congelé est vendu sur le marché de gros à Riyadh à 4.9 SAR environ. En comparaison les poulets produits localement sont vendus 7 SAR.
Les conditions climatique et environnementale rendent un coût de production très élevé.
Le Gouvernement Saoudien prévoit des subventions dans le but de diminuer ses coûts de production.
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