2° POURQUOI BAISSER CES MARGES on observe une différence de prix entre le prix établi par l ‘agriculteur et celui que paye le consommateur en effet au prix d’achat de la matière première vient s’ajouter la marge brute industrielle , la TVA et la marge brute GMS. On observe que le prix de la matière baisse entre 2013 et 2014 pour le lait sans pour autant que le prix de celui-ci ne diminue pour le consommateur( prix de vente des distributeurs ).

Il faudrait en effet diminuer la marge de des grands distributeurs car cela permettrait d’ameliorer les conditions financières des producteurs. Pour cela il faudrait que cette baisse soit appliqué à l’ensemble des intermédiaires .
La baisse de marge pourrait être également une opportunité pour proposer aux consommateurs des produits moins chères bon pour leur pouvoir d’achat.
Le risque pour les grands distributeurs de baisser cette marge serait de voir baisser leurs capacités d’investissements (nouveaux magasins, publicité, rénovation des sites, maintient de l’outil) ainsi que les gratifications donnée aux employés (ex : intéressements).

les producteurs de viande bovine et porcine sont tout particulièrement touchés avec des baisses comprises entre 6 % et 8 %.
Or, si le consommateur a déboursé 10 centimes de moins pour un kilo de longe de porc, à 6,88 euros, la marge brute de la distribution est restée quasi stable, à 3,39 euros le kilo, après une hausse en 2013, quand le prix payé à la production baissait, passant de 2,58 à 2,50 euros le kilo. Pour la fabrication du jambon, le coût d’achat du porc a reculé plus fortement encore, de 3,70 à 3,48 euros, mais l’étiquette n’a pas bougé pour le client.

La grande distribution subissant une forte concurrence au niveau du non alimentaire sur le secteur du e-commerce , la baisse de cette marge pourrait être une solution car elle inciterai à une meilleure consommation de la par du consommateur.

La concurrence entre enseignes ne constitue qu'une facette de la question

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