ô Prison Douce

scéniques: chemin de ronde ; une prison ; gardiens (didascalie initiale) ; coups de feu, projecteurs, sirènes (didascalie finale). - Nombreuses allusions des personnages quant aux statuts et à la situation initiale : - La prison côté gardien: il n’y a pas d’évasion ici. La prison est trop moderne ; (lieu) ; moi qui suis gardien depuis six ans ; moi, gardien de prison , incapable de poignarder (la sécurité du lieu, le bien lié aux gardiens, la routine) - La prison côté prisonniers : une main qui a

scéniques: chemin de ronde ; une prison ; gardiens (didascalie initiale) ; coups de feu, projecteurs, sirènes (didascalie finale). - Nombreuses allusions des personnages quant aux statuts et à la situation initiale : - La prison côté gardien: il n’y a pas d’évasion ici. La prison est trop moderne ; (lieu) ; moi qui suis gardien depuis six ans ; moi, gardien de prison , incapable de poignarder (la sécurité du lieu, le bien lié aux gardiens, la routine) - La prison côté prisonniers : une main qui a

tout le monde, en une profonde pitié. Nous avons songé aux préjugés d’éducation de quelques-uns d’entre eux, au cerveau peu développé de leur chef, relaps fanatique et obstiné des conspirations de 1804, blanchi avant l’âge sous l’ombre humide des prisons d’État, aux nécessités fatales de leur position commune, à l’impossibilité d’enrayer sur cette pente rapide où la monarchie s’était lancée elle-même à toute bride le 8 août 1829, à l’influence trop peu calculée par nous jusqu’alors de la personne

souriaient dans l'oeil bleu des pervenches ; Un jour que je songeais seul au milieu des branches, Un bouvreuil qui faisait le feuilleton du bois M'a dit: -Il faut marcher à terre quelquefois. -La nature est un peu moqueuse autour des hommes ; -O poète, tes chants, ou ce qu'ainsi tu nommes, -Lui ressembleraient mieux si tu les dégonflais. -Les bois ont des soupirs, mais ils ont des sifflets. -L'azur luit, quand parfois la gaîté le déchire ; L'Olympe reste grand en éclatant de rire ;

la maîtresse (vers 6), c'est-à-dire d'une femme connue intimement, ou bien d'une passante aperçue pour la première fois, d'une femme que l'on vouvoie donc par respect ? A moins que Baudelaire ne s'adresse à toutes les femmes ? L'apostrophe lyrique « Ô Beauté » le laisse supposer. Certes, le poète fait agir une ou des personnes dans son allocution, ce qui définit la prosopopée (figure de rhétorique qui repose sur un système énonciatif, qui sollicite des formes temporelles, des personnes pronominales)

tout le monde, en une profonde pitié. Nous avons songé aux préjugés d’éducation de quelques-uns d’entre eux, au cerveau peu développé de leur chef, relaps fanatique et obstiné des conspirations de 1804, blanchi avant l’âge sous l’ombre humide des prisons d’État, aux nécessités fatales de leur position commune, à l’impossibilité d’enrayer sur cette pente rapide où la monarchie s’était lancée elle-même à toute bride le 8 août 1829, à l’influence trop peu calculée par nous jusqu’alors de la personne

tout le monde, en une profonde pitié. Nous avons songé aux préjugés d’éducation de quelques-uns d’entre eux, au cerveau peu développé de leur chef, relaps fanatique et obstiné des conspirations de 1804, blanchi avant l’âge sous l’ombre humide des prisons d’État, aux nécessités fatales de leur position commune, à l’impossibilité d’enrayer sur cette pente rapide où la monarchie s’était lancée elle-même à toute bride le 8 août 1829, à l’influence trop peu calculée par nous jusqu’alors de la personne

des noix. Ô quantes fois aux arbres grimpé j'ai, Pour dénicher ou la pie ou le geai, Ou pour jeter des fruits jà mûrs et beaux A mes compaings, qui tendaient leurs chapeaux. L'Amour de moi s’y est enclose... anonyme L'amour de moi s'y est enclose Dedans un joli jardinet Où croît la rose et le muguet Et aussi fait la passerose Ce jardin est bel et plaisant Il est garni de toutes flours On y prend son ébattement Autant la nuit comme le jour Hélas ! Il n'est si douce chose Que

Ses propres sentiments : « lâche », il ressent la peur « effroi », « perdu », « j’étais dépucelé ». * Son engagement est absurde. * Bardamu préférerait être ailleurs, voir voler et se retrouver en prison pour y échapper. * Il nous livre de nombreuses réflexions : «  de la prison on en sort vivant, pas de la guerre ». Ainsi, Bardamu ose se présenter en anti-héros, finalement humain et lucide pour mieux dénoncer l’inacceptable : la guerre. II ] Dénonciation de la guerre. *

Angleterre. Il y publie son premier livre, Macheka, qui a été un franc succès auprès de la communauté russe. N’ayant jamais appris l’allemand, ses œuvres sont toutes écrites en russe, jusqu’en 1941 où il écrit son premier roman en anglais : « Mademoiselle O ». Il part ensuite vivre aux Etats-Unis où il est naturalisé américain en 1945. Ce n’est qu’en 1955 qu’il écrit une de ses plus grandes œuvres, « Lolita » qui a été l’objet d’un grand scandale et est refusé par les éditeurs américains. Il a donc été