île De Robinson Crusoé

d'abord la règle de droit et considère ensuite les faits dans la mesure ou il cadre ou pas avec la règle. Le littéraire au contraire, n'envisage l'aspect universel de ce qu'il raconte que par l'intermédiaire de cas particulier ( Daniel Defoe, Robinson Crusoé). Tout cela est bien simpliste et vrai. Il suffit d'assister à une audience pour voir ce quI se joue dans la pratique du droit sont des cas particuliers. b) Le thème « des fous du droit » Shakespeare, le marchand de Venise (1594)

héros créent des aventures, des destins exceptionnels. Ils bravent le danger, et leur courage sont hors-norme. Le lecteur est en admiration et se refléter dans ce personnage, il aimerait lui ressembler. Robinson Crusoé est un roman écrit par Daniel Defoe. Robinson est marin, qui vécut 28 ans sur une île déserte sur la côte de l'Amérique, près de l'embouchure du grand fleuve Orénoque, suite à un naufrage où tous périrent à l'exception de lui-même, et il fut délivré d'une manière tout aussi étrange par

rebondissement d'action, et nécessite une chute ou une intrigue à chaque épisode, parfois vont même chercher dans l'irréel afin d'intéresser – science fiction : Les Thanatonautes, Frankenstein, Dr.Jekyll et M.Hide, Harry Potter – aventure : Robinson Crusoe, l'île aux trésor – policier : 2ème partie : les héros qui semble réels, avec souvent une impression de banalité – le héros de roman épistolaire ou roman mémoires => vraisemblance, le but est de donner tout les détails qui ferait croire a

semblable à moi. Mon jugement, mes émotions n’ont de significations que si d’autres peuvent en être le témoin ou le garant, ce qui suppose qu’ils soient capables de porter les mêmes jugements ou d’éprouver les mêmes émotions que moi. Sur son île déserte, Robinson, découvre le caractère insupportable de la solitude absolu ; la perte du point de vue de l’autre sur les mêmes choses que soi, fait à terme, disparaître la conscience même de l’existence du monde intérieur. Pourtant, les autres sont aussi source

conditions. Il va d'abord falloir abandonner certaines théories. Les héros idéalisés nous fascinent, certes ils sont pour nous un moyen de vivre quelque chose d'exceptionnel par procuration comme avec le personnage de Robinson Crusoé où nous vivons l'expérience de 28 ans de solitude sur une île déserte. Mais d'autres lecteurs ont au contraire besoin de s'identifier à des personnages qui ne sont ni bons ni mauvais pour qu'ils soient plus proches de la réalité. Cependant, Zola insistait sur le caractère médiocre

agréable ? ». Selon un autre poète latiniste et épicuriste, Horace, carpe diem, cueillons le jour. Oui profitons de la vie, mais gardons nous de nous montrer, restons dissimuler pour nous protéger de toute douleur superflue. Après tout, Robinson Crusoé, sur son île déserte, ne coulait-il pas des jours heureux dans la prison de sa solitude ? Désormais, nous nous devons de nous soustraire à tout contact social. « L’enfer c’est les autres » écrit Jean-Paul Sartre. Les autres, l’autrui

Cependant, la vie en liberté nécessite-t-elle réellement de mettre fin à la relation que nous entretenons avec la société ? Prenons l’exemple du livre Robinson Crusoé de Daniel Defoe, certes le personnage, seul survivant du naufrage d’un bateau en mer et qui se retrouve sur une île déserte, arrive à s’adapter à son nouveau mode de vie et à se sentir épanouie et libre. Cependant, la société dans laquelle il vivait finit par lui manquer, la civilisation lui manque

les petites flammes qui s’allumaient à l’extrémité des mâts et des vergues du navire. C’était des feux Saint-Elme, un phénomène dû à l’électricité atmosphérique et qui annonce un violent orage. Heureusement, La Virginie sur laquelle voyageait Robinson n’avait rien à craindre, même de la plus forte tempête. C’était une galiote hollandaise, un bateau plutôt rond, avec une mâture assez basse, donc lourd et peu rapide, mais d’une stabilité extraordinaire par mauvais temps. Aussi le soir, lorsque

« littérature de gouvernante ». - Robinsonades : « Robinson Crusoë » écrit par Defoe : (1719) : dès sa traduction en France, il entre en colportage : on coupe les descriptions et les longueurs et on recentre l’histoire sur un livre d’aventure. Cet ouvrage, destiné aux adultes, est récupéré par la jeunesse. Naufrage, île déserte, sauvetage et retour à la civilisation. Ce schéma est repris par de nombreux pays (Paris, Guyane, suisse, version scout, vieux Robinson…) => les Robinsonades. Rousseau dit que c’est

adapté par les avantages les plus nombreux. Nous ne pouvons former aucun désir qui ne se réfère pas à la société. La parfaite solitude est peut-être la plus grande punition que nous puissions souffrir. » Exemple : Robinson Crusoé, Daniel Defoe. Naufragé sur une île déserte, Robinson Crusoé adapte aussitôt l’environnement à ses propres besoins pour recréer ce qu’il connaît de la vie en société : maisons, vêtements, techniques, tout découle de ce qu’il a appris au contact des autres et des réflexes acquis