éloge Funebre

pratiqués, selon les époques, étaient l'incinération et l’inhumation. Au moment de la mort, l’agonisant est posé sur le sol, une fois mort un proche lui ferme les yeux et recueille par un baiser son âme qui s’échappe. Suit alors la lamentation funèbre : les proches appellent le défunt trois fois par son nom et il y a des cris de douleur pour vérifier qu’il est bien mort et ne pas l’enterrer vivant mais aussi montrer sa tristesse afin d’éviter sa colère. Après les cérémonies de l'adieu, de la toilette

parole à l'un d'eux (parole testamentaire) fin → 3e pers = retour sur les hommes → ns mettre au + près des résistants forme régulière (7 strophes) = caractère solennel de cette démarche 2. Un éloge funèbre → Malgré anonymat apparent : allusions qui permettent de rattacher grp M. au « vous » « partisans » = résistants → Portrait fortement élogieux ds lequel se perçoit tte la reconnaissance pr les résistants simplicité de ces hommes accumulat°

donner la parole à ces insomnies de l’âme qui, dans une brutale dépossession, rendent chacun à soi-même.
Nous verrons dans une première partie l’éloge de la servante, puis dans une seconde partie l’omniprésence de la mort. Problématiques :     I Un éloge de la servante
 A/ La tonalité autobiographique
un personnage réel : Mariette. Partir de la dimension autobiographie de ce poème, et du personnage de Mariette, servante de Charles Baudelaire quand celui-ci était enfant. Ce personnage a réellement

de Géraud de Cordemoy et de Huet. Ses œuvres forment environ vingt volumes ; les principales sont ses Oraisons funèbres (Henriette d’Angleterre, Prince de Condé, etc.) et ses Sermons, le Discours sur l’Histoire universelle, le Traité de la Connaissance de Dieu et de soi-même et l’Histoire des Variations des Églises protestantes. D’Alembert, Patin, Saint-Mars Girardin ont écrit son Éloge. L’on doit au cardinal de Bausset une Histoire de Bossuet en quatre volumes. Burigny a publié la Vie de Bossuet

vie et la sécurité d’Octave. 2) Octave : -ouvre et termine la scène, -4 répliques dont trois tirades. a- indifférence par rapport à MA (il ne s’adresse pas à elle sauf à la fin, il la vouvoie et ne parle que de la mort de Coelio). b- éloge funèbre de Coelio : cl à relever (homme idéal, ami exceptionnel, altruiste ; anaphore et comparaison et métaphore avec l’eau) c- autoportrait d’Octave= double négatif de Coelio (relever les oppositions et les parallélismes)  Ces deux réactions opposées

est un texte que l’on apprend facilement. Situation d’énonciation : Manouchian à sa femme ; Louis Aragon au groupe des 23 ; Sympathisants aux 23 (épitaphe) ; Louis Aragon aux lecteurs dans la dernière strophe. Conclusion : Ce poème est un éloge funèbre et le rappelle d’un sacrifice. Un poète qui cherche à entretenir le devoir de mémoire.

figure d’une servante qui a beaucoup compté pour lui. Aussi nous étudierons la structure du poème qui revêt la forme d’une conversation avec une interlocutrice plus suggérée que véritablement présente, puis, nous tenterons d’expliquer comment cet éloge funèbre de la servante se transforme en un requiem macabre sur l’horreur de la mort, un réquisitoire contre les vivants. Enfin, nous verrons, comment Baudelaire transpose discrètement, à travers les reproches que les morts adressent aux vivants, ceux qu’il

Le héros épique accomplit des prouesses et traverse des épreuves qui, le laissant mort ou vif, permettent la manifestation de ses qualités. En ce sens, le récit de Théramène est à la fois un plaidoyer en faveur d'Hippolyte en même temps que son éloge funèbre. Celui-ci devra toucher Thésée, son père, commanditaire de la mort de son fils, ainsi que le spectateur.

Portrait intimiste : Se dit d’un peintre ou d’un écrivain qui prend pour sujet des scènes, des sentiments délicats, intimes. 2. Allégorie : Fait de représenter une idée, un sentiment par une image. 3. Oraison funèbre : Discours prononcer lors de la mort d’un personnage illustre. 4. Mécène : Protecteur des arts et des sciences. Effectue des commandes auprès des artistes (Système de Mécénat). 5. Portrait en pied : Portrait réalisé de la tête aux pieds

peut-il etre lu comme une critique de la société du XIXème siècle? Après avoir étudié comment Verlaine dépeint une scène réaliste qui est une éloge paradoxal, nous aborderont le message de l'auteur : une satire féroce de la société. I) Une scène réaliste A) Le choix d'une inhumation Par le titre, le lecteur sait qu'il va participer à une cérémonie funèbre. Une telle scène n'est pas courante dans le genre poétique classique. De plus, Verlaine le traite de manière particulière. B) L'utilisation