éducation Enfant Bourgeoisie 1850

(pages 14-41) Programme : Thème 1 – Croissance économique, mondialisation et mutations des sociétés depuis le milieu du XIXe siècle Question Croissance et mondialisation Mise en œuvre – La croissance économique et ses différentes phases depuis 1850 – Les économies-mondes successives (britannique, américaine, multipolaire) ➤Nouveauté du programme par rapport à l’ancien ❏ On notera tout d’abord les bornes chronologiques proposées : le point de départ est la première révolution industrielle

VIII-ième siècle, dominent l’Aquitaine et le Languedoc; * Des Vikings qui arrivent au X-ième siècle de la Scandinavie et s’installent en Normandie. Des Belges... aux Maghrébins Au XIX-e siècle commencent les grandes immigrations. * Belges et Italiens (1850 - 1914) regroupent les effectifs les plus nombreux dans une population immigrée estimée à 1 160 000 personnes (dans 39 196 000 Français); ____________________ * D’après Labrune G. La géographie de la France. Paris, 1988; Manfred A. Histoire de la France

sont surtout le résultat de l’éducation que lui a donné Sophie Trébuchet, sa mère, qui lui a inspiré la dévotion aux rois. Pourtant, les idées politiques de Hugo changent au cours des années. Après la Révolution de 1848, il se révolte contre son éducation catholique et royaliste et commence à défendre le Républicanisme. N’oublions d’ailleurs pas que Les Misérables ont été écrits pendant l’exil de Victor Hugo, après le coup d’état du 2 décembre 1851 par Napoléon III. Pour Hugo, Waterloo n’est donc

occupe une place centrale. En résumé : L’or est le fondement de la richesse. Il faut l’obtenir par le commerce de produits manufacturés. Et le conserver grâce au protectionnisme. Cette conception de la prospérité repose sur le dynamisme de la bourgeoisie, et non sur celui de la noblesse. L’Etat a, durant cette période, contribué à la construction du marché, avec le passage des marchés locaux à système de marché (Polanyi). 2) Les physiocrates. C’est une réaction contre le mercantilisme. 2.1)

sembler une exagération. Cependant, citons d'après la traduction anglaise autorisée : « La bourgeoisie... a été la première à montrer ce que l'activité de l'homme peut réaliser. » Joseph Schumpeter (1942), Capitalisme, socialisme et démocratie : 1re et 2e parties 20 « Elle a accompli des miracles surpassant de loin des pyramides égyptiennes, les aqueducs romains et les cathédrales gothiques ... La bourgeoisie... entraîne toutes les nations... vers la civilisation ... Elle a créé des cités immenses

l'intention d'enlever femmes et enfants dont ils faisaient leurs esclaves - pour le travail comme pour satisfaire leurs appétits sexuels. Colomb envoya expédition sur expédition à l'intérieur de l'île. Ce n'était décidément pas le paradis de l'or mais il fallait absolu­ ment expédier en Espagne une cargaison d'un quelconque intérêt. En 1495, les Espagnols organisèrent une grande chasse à l'esclave et rassemblèrent mille cinq cents Arawaks - hommes, femmes et enfants - qu'ils parquèrent dans des enclos

brillantes qui distinguent les grands rois ; il était d’un caractère timide et un peu sauvage. Durant son règne, il ne montra aucun goût pour les lettres, car il fut dégouté de la lecture dès sa plus tendre jeunesse, même si Corneille avait déjà enfanté sa tragédie du Cid, et même si Richelieu, sous le nom de son maître, établit, en 1637, l’Académie Française, en triomphant de la résistance au parlement de Paris. L'histoire de son règne n'est le plus souvent que celle du cardinal de Richelieu, qui

social. Nous sommes normés dans nos usages du corps, il y a des dispositifs de pouvoir qui prescrive des façons de se comporter. Ces dispositifs de pouvoir relèvent rarement de l’Etat, car dès l’enfance, par des processus de socialisation, les enfants apprennent à se mouvoir de certaines façons. Foucault écrit que « le corps est directement plongé dans un champ politique, les rapports de pouvoir opèrent sur lui une prise immédiate, ils l’investissent, le marquent, le dressent, l’astreignent à des

pas moins fait des Cévennes, dans les années 1620, un véritable sanctuaire militaire et religieux, depuis Alès jusqu’au Rouergue. Les villes lui restent fidèles, même s’il doit parfois s’appuyer sur leurs éléments populaires pour contourner une bourgeoisie plus prudente ; il s’en sert comme de verrous (Le Vigan au sud, Meyrueis au nord) pour protéger sa route entre Bas et Haut-Languedoc, de Nîmes à Castres. Le pays lui assure des levées régulières d’hommes et d’argent, et une série de hobereaux de

Texte 1Incipit de La Princesses de Clèves | L’auteur | - Mme de la Fayette - Née à Paris en 1634, de son vrai nom Pioche de la Vergne. - Education soignée littéraire et mondaine. - Fréquentation hâtive des salons mondains. - Propriétaire de son propre salon où elle réunit les membres de la haute société (Henriette d’Angleterre, Mme de Sévigné, La Roche Foucault…). - Type même de la femme savante, cultivée et dotée d’une parfaite maîtrise des codes de l’aristocratie. - Femme