économie Firme Et Marché

 Peut on considérer que nos économies sont dominées par des régulations oligopolistiques ? Table des matières Remerciements 2 Introduction 4 Première partie : 5 Les oligopoles apparaissent et occupent une place dominante dans nos économies 5 A) Origines et Caractéristiques 5 B) Domination des oligopoles 7 Deuxième partie : 9 Régulant l’économie par le biais de leurs stratégies 9 A) Stratégies par les quantités 9 1) Modèle simple de Cournot (1838) : 9 2) Modèle de Stackelberg : Principe

Chapitre 1 : Entreprise et économie Les choix de la firme résultent de la confrontation entre ses contraintes internes d’ordre technique et ses contraintes externes dépendant de la demande du consommateur et de l’offre des entreprises concurrentes. On s’intéresse aux contraintes technologiques de la firme de façon à délimiter et formaliser les choix possibles pour une firme ayant pour objet de maximiser son profit. Les facteurs de production utilisés par la firme sont essentiellement : Capital

d’intérêt et que seul le marché existe, ce dernier étant considéré comme un system de prix donnant des signaux nécessaires aux entreprises pour ajuster leurs niveau de production . La théorie des coûts de transaction tente de définir ce que sont les notions de marché et de hiérarchie (synonyme d’entreprise ou d’organisation), en justifiant leur existence simultanée. En effet, les économistes classiques et néoclassiques partent de l’hypothèse selon laquelle le marché est le mode de coordination

le néo-institutionnalisme de la firme, est très critiquée par les gestionnaires. Cette critique prend appui sur la théorie de l’entrepreneur de Knight, point d’appui qui est aussi revendiquée dans la théorie de la capacité de Sen. Depuis Knight, il est fait une distinction entre l’incertitude probabilisable, et une incertitude radicale que doit souvent affronter l’entrepreneur. Voici un résumé des critiques faites par les gestionnaires de la théorie de la firme à partir des droits de propriété

spécialise sur ses compétences fondamentales et d’insère dans une série de transactions plus ou moins récurrentes avec les autres en fonction de la demande. Le cycle conception-fabrication-commercialisation, plutôt que d’être intégré au sein d’une même firme, est partagé entre les membres financièrement autonomes d’un réseau, coordonnés par des relations commerciales. Brigitte Rorive, 2003 : caractéristiques de l’entreprise réseau : Organisation en unités ou équipes de travail largement autonomes

TD 4 – Economie Industrielle Barrières à l'entrée. Un parfait fonctionnement de la concurrence nécessite une grande souplesse dans le fonctionnement du système économique. Elle suppose notamment une totale mobilité des facteurs : ainsi, le capital, continuellement à la poursuite des profits substantiels, doit pouvoir se dégager des activités devenues peu rentables pour s'engouffrer dans les activités aux performances prometteuses. Cela implique automatiquement qu'il n'y ait aucun obstacle à

Commerce international Introduction : 1) Quelques fausses vérités sur le commerce international 2) Nation dans la compétition économique mondiale (livre de KRUGMAN : économie internationale 3) Liens entre commerce et développement durable (livre de Shuakenbourg et Suarez : commerce mondiale et développement durable 4) L’OMC et les NCM (négociation commerciale multilatérale) 5) Les nouveaux contours du commerce mondial Commerce internationale ou mondiale ? Si le commerce est

surveillance, – censée être accomplie par les actionnaires –, et une fonction décisionnelle – supposée être l’apanage des dirigeants –, qui s’est produit, au début du siècle, lors de l’émergence de la grande société cotée à actionnariat très diffus, la firme « managériale », où les dirigeants ne détiennent pas une fraction significative du capital. Ce démembrement aurait provoqué une dégradation de la performance des entreprises et une spoliation des actionnaires à cause de la défaillance des systèmes

pays du sud, en voie de développement, mais dont les performances ont évolué très rapidement) : BRIC, Afrique du Sud. Figure 2 : peu de changement dans les années 1980, en 2011 la part des économies avancées est 2 fois plus importante que celle des économies émergentes : développement très important des économies du Sud. Figure 6 : La part de la Chine a énormément augmenté, celle des pays les plus riches a baissé. Le plus gros exportateur mondial est aujourd’hui la Chine. Les IDE IDE = investissements

L’entrepris se contente d’exporter du marché domestique vers l’extérieur. ➢ Elle cherche à augmenter son chiffre d’affaire et à conquérir de nouveaux marchés. ➢ Les politiques commerciales nationales sont transposées aux autres marchés étrangers. ➢ Les R&D sont assurés par la maison mère. Généralement, toutes les entreprises approchent les marchés de cette façon. Elles s’engagent faiblement et elles prennent position sur les nouveaux marchés étrangers progressivement. Cependant