échec De La Monarchie Constitutionnelle

Séance 1 – Le temps de la monarchie constitutionnelle (1814-1848) Introduction La monarchie constitutionnelle a d'abord été acceptée parce que, après une vingtaine d'années de guerre, elle apportait la paix à la France. Mais il n'y pas eu de retour à la société d'ancien type et la monarchie de 1814 n'est pas celle de 1788. Sous la monarchie constitutionnelle la recomposition des groupes sociaux engagée dès avant la Révolution se poursuit et impose la conservation sinon totale au moins partielle

Régime sont considérés comme des échecs. Louis XVI est finalement résolus à convoquer les états généraux. C’est cette convocation des états généraux qui va entraîner la plus grande rupture qu’ait pu connaitre l’histoire de France. Ainsi, les Assemblées constituante et législative vont conduire à une évolution qui sera capitale. En effet, la monarchie de droit divin, est abandonnée. Elle laisse la place à une nouvelle monarchie dite constitutionnelle. Cette monarchie est très originale car la séparation

provoquent durant tout le règne de 1848 à 1916 les inextricables difficultés qui conduisent à la disparition de l’Autriche ne tant que puissance multinationale. c) La question constitutionnelle. Tout le règne est également obsédé par la recherche d’une solution constitutionnelle qui réponde à la fois aux désirs de la monarchie autoritaire qui assure la totalité du pouvoir exécutif, jugulant les idées libérales et à la domination voire à l’assimilation des nations et minorités organiquement liées à

religieuse, était-elle aussi figée que ses cadres juridiques le laissaient supposer ? I – Une société figée dans des principes d’un autre temps A – L’esprit du siècle : des aspirations nouvelles dans un cadre figé B – La réforme de l’Ancien Régime : des échecs répétés II – Le dynamisme méconnu de la société d’Ancien Régime A – Une participation forte à la chose publique B – Une société révolutionnaire ? 3 La séparation des pouvoirs entre théorie et pratique La théorie de la séparation des pouvoirs, legs

la centralisation monarchique et l'octroi des libertés provinciales; - la crise morale avec les philosophes des lumières dénonçant le pouvoir absolu, le droit divin et l'arbitraire royal. I- La crise de la monarchie absolue (révolte du Tiers-Etat). a) Remise en cause de la monarchie absolue de droit divin. - parler (sans entrer dans les détails) des Lumières comme Diderot, Voltaire, Montesquieu, Rousseau qui ont dénoncé l'absolutisme, revendiqué la séparation des pouvoirs et aussi réclamé

particulier pour les monarchistes. En effet, en 1814 et après la déchéance de Napoléon, la population française va se questionner sur la monarchie. On peut penser que la France va oublier les acquis de la Révolution et revenir en arrière dans une monarchie absolutiste. En effet, les expériences napoléoniennes et révolutionnaires furent malheureuses et ont conduites à des échecs. Les principes proclamés n’ont pas été respectés, et durant une longue période la dictature a été le quotidien du peuple français

 acquièrent de nombreux territoires  (l'Autriche annexe la Lombardie-Vénétie ; la Russie acquiert une partie de la Pologne). Des États-tampons (des Etats créés pour isoler la France du reste de l’Europe) apparaissent, comme les Pays-Bas. Les monarchies sont  restaurées  et les dynasties chassées du pouvoir reviennent sur le trône, comme en France avec les Bourbons. L'acte final est complété par le  traité de la Sainte-Alliance

Les Ultras " Vive le roi quand même ". Ce propos marque l’insatisfaction des ultras de la monarchie de Louis XVIII fondée sur la Charte de 1814 En effet, les ultras passent pour être des ultraroyalistes, royalistes extrêmes qui sont " plus royalistes que le roi ". Ce parti réactionnaire, refuse le progrès et prône avant tout un retour aux valeurs du passé, à une réaction contre l’état présent. L’ultracisme, terme surtout utilisé par les historiens représente les valeurs et les principes qui constituent

Hist-- Hist. Chp.2 : L’Europe, entre restauration et révo° (1815-1848) --Intro : Suite à l’effondrement de l’empire napoléonienne en 1814, les monarchies européennes souhaitent réorganisée l’Europe et l’ancien régime. Ces grandes puissances se retrouvent lors du congrès de vienne, ou elles aspirent à instaurer une nouvelle diplomatie garantissant une paix durable. Problématique : Mais en quoi se retrouve profondément divisée par l’héritage

bicaméral) exerçant la fonction législative, un chef d'Etat et un Gouvernement détenant la fonction exécutive. Mais régime parlementaire : pas apparu soudainement au XIXè siècle --> fruit d'un long processus humain, de révolutions, revendications et échecs nombreux. Nous pouvons alors nous poser les questions suivantes : Comment le régime politique français sortant d'une révolution -et d'un Empire- va-t-il évoluer dans un système électoral strict pour aboutir aux débuts hésitants du parlementarisme