échanges Marchands Des Limites

Qu'est-ce que la mondialisation ? La mondialisation désigne le processus par lequel les relations entre les nations sont devenues interdépendantes et ont dépassé les limites physiques et géographiques qui pouvaient exister auparavant. La mondialisation revêt plusieurs aspects, en effet, elle touche la politique, l'économie, la culture, la société ou encore l'information. Elle représente l'ouverture des frontière et l'avènement du commerce international, de la délocalisation et de la libre-circulation

propriété > essentiels pour les échanges marchands (on ne peut pas vendre ce qui ne nous appartient pas) Sans droits de propriété > pas d'échanges, il n'y aurait qu'à se servir librement Droit de propriété ne signifie pas que l'on peut faire ce qu'on veut de notre bien. Ex : Ce n'est pas pcq on a un terrain qu'on peut construire un immeuble de 50 étages dessus. Règles > établies par le cadre juridique Celui qui fait respecter les règles > organe judiciaire Echanges ont pu se dvlper grâce à des

superposent jusqu’à ces dernières décennies : - le niveau local : une économie de subsistance, du quotidien. Des échanges dans la ville - le niveau mondial : il concerne le commerce mondial. Se développe dans les villes-états (telle que Venise à la Renaissance) qui commercent entre elles. - le niveau intermédiaire : il concerne l’économie marchande (les marchés) Actuellement, le changement vient de la fusion de ces différents niveaux qui jusque-là coexistaient sans

qui sont à la fois désiré par des agents éco mais disponible en quantité limité. UTILITE: Satisfaction qu'un individu retire de la consommation d'un bien. UTILITE MARGINALE: Satisfaction de la dernière unité consommée. COUP D'OPPORTUNITE: Ce à quoi l'on doit renoncer pour obtenir l'objet désiré ou l'activité souhaitée. 1.2 Pourquoi acheter à d'autre ce que l'on peut faire soit même ? ECHANGE MARCHAND: Échange impersonnel entre 2 agents économiques qui implique la session d'un bien

donc la force de travail et dirigent la production des marchandises. Comme le capitalisme est défini d'abord comme une économie marchande, le livre I du Capital présente une théorie de la marchandise en tant que valeur d'usage produite par un travail concrèt et valeur d'échange produite par le travail abstrait (le travail social). Ainsi, dans les sociétés marchandes, la monnaie a un rôle primordial et on distingue l'argent comme moyen d'échange et l'argent comme capital. Avec la théorie de la circulation

grandes questions que se posent les économistes ; Choix et Echange. Rareté : Caractéristique de ce qui n’existe pas en illimité pour satisfaire les besoins humains Utilité : Satisfaction qu’un individu retire de la consommation d’un bien ou d’un service Utilité marginale : Satisfaction retiré de la dernière unité consommée. Elle décroit lorsque la quantité consommée augmente. Ex : Verre d’eau désert. Contraintes budgétaire : Limite imposé par les revenus et par les prix aux possibilités de

Sensibilisation p.13 2. Pourquoi acheter à d’autres ce que l’on pourrait faire soi-même ? pp.14-22 2.1. Echanger permet de se procurer tout ce dont on a besoin pp.14-16 Objectifs de savoir : précisez ce qu’est la division du travail / établir un lien entre division du travail et spécialisation / définir les termes de spécialisation et d’échanges marchands / nommer les avantages de l’échange marchand 2.2. Echanger est profitable à tout le monde pp.16-22 Objectifs de savoir : définir la notion de gains à l’échange

-Production marchande : Création de biens et de services destinés à être vendu à un prix supérieur à 50% du coût de production. -Production non marchande : Création de biens et de services distribués gratuitement ou vendus à un prix inférieur à 50% du coût de production. -Valeur ajoutée : La valeur ajoutée correspond aux richesses créées par les organisations productives -Salaire : Le salaire est le paiement du travail convenu entre un salarié et son employeur. -Profit : Le revenu dégagé par

individus sont illimités. Ils ne sont pas tous de même nature. On distingue les besoins primaires et les besoins sociaux, des besoins solvables ou non, des besoins individuels ou collectifs. Les biens et ressources économiques sont au contraire limités.  La conséquence de cette double situation est la rareté relative des biens, ce qui nécessite de hiérarchiser les besoins et de faire des choix. L’activité économique de consommation conduit à choisir en fonction de l’urgence et de l’intensité des

marchés les mieux organisés sous le rapport de la concurrence sont ceux où les ventes et les achats se font à la criée, par l’intermédiaire d’agents tels qu’agents de change, courtiers de commerce, crieurs, qui les centralisent, de telle sorte qu’aucun échange n’ait lieu sans que les conditions en soient annoncées et connues et sans que les vendeurs puissent aller au rabais et les acheteurs à l’enchère »5. Chez Adam Smith au contraire les prix ne sont pas donnés avant l’échange mais au contraire « l’intérêt