Zoroastre

•I Le borgne : L'histoire prend place à Babylone avec le roi Moabdar. Zadig est un être très aimé et très vertueux. Il suit les écrits de Zoroastre, un philosophe qui a écrit quelques essais. Il allait épouser Sémire, femme belle, riche et de haute naissance, lorsque Orcan, jaloux, vient l'enlever. Zadig défend fièrement sa dame mais il est gravement blessé. Sémire fait venir un médecin de Memphis, Hermès, qui lui dit que Zadig sera un borgne. Sémire ne peut se faire à cette idée et le quitte pour

même si l’histoire diffère. « Quand il jugeait une affaire, ce n’était pas lui jugeait, c’était la loi ; mais quand elle était trop sévère, il la tempérait ; et quand on manquait de lois, son équité en faisait qu’on aurait prises pour celles de Zoroastre. »  « Il croyait que les lois étaient faites pour secourir les citoyens autant que pour

divinité dominante sont bien illustrées par l'histoire plus récente de Zoroastre, prophète du 7ème siècle av. JC 67. Il est né près de Samarcande, ville d'Asie Centrale située précisément au milieu de la route de la soie, au noeud de communication entre la Chine, l'Inde et le Moyen Orient, au croisement de cette route est-ouest avec la route nord sud qui va de la Russie au Cachemire. La collectivité des Dieux, au temps de Zoroastre, se range en trois catégories où se retrouve la trifonctionnalité :

sagesse de Robinson. Robinson fait preuve de détachement envers les préoccupations superficielles et les richesses , il vit en harmonie avec la nature , il a accédé à ce qu'il appelle « le bonheur solaire » (ligne 2) et se compare à Zoroastre en ligne 4 qui atteint la sagesse en ayant « longuement forgé son âme au soleil ». Robinson par son recul et sa distance est supérieur aux Européens comme nous le montre la comparaison en ligne 39 « Il les voyait avec le détachement

nature. Un jour suffit à un sage pour connaître les devoirs de l'homme. Le philosophe n'est point enthousiaste, et il ne s'érige point en prophète, il ne se dit point inspiré des dieux ; ainsi je ne mettrai au rang des philosophes, ni l'ancien Zoroastre, ni Hermès, ni l'ancien Orphée, ni aucun de ces législateurs dont se vantaient les nations de la Chaldée, de la Perse, de la Syrie, de l'Égypte et de la Grèce. Ceux qui se dirent enfants des dieux étaient les pères de l'imposture ; et s'ils se servirent

la vie était bien plus complexe que ce qu’il n’y paraissait. L’Envieux Zadig avait décida d’ouvrir sa maison, en la transformant en bibliothèque le matin, et en invitant des convives le soir. Après une grande dispute au sujet d’une loi de Zoroastre, Zadig ferma la bibliothèque. Ces repas le soir devinrent alors très prisés par des les gens les pus importants. A tel point que ceci attira la jalousie d’Arimaze (l’envieux). Ce dernier essaya de mettre un terme à ces soirées, il trouva derrière

les livres attribués à Hermès Trismégiste : « Le Dieu et le Père de qui l'homme est né est la lumière et la vie. Si donc tu sais que tu es sorti de la vie et de la lumière, tu marcheras vers la Vie. » De même la conception du Logos figure chez Zoroastre pour qui l'Etre suprême, Zeruané Akréné ou le Temps — le Khronos des Grecs — créa la lumière primitive d'où sortit le roi de lumière Ormuzd, le Dieu Bon, qui, à son tour, créa le monde dans sa pureté originelle. De même le culte de Mithra, le rival

bruit de paroles, qu'on appelait conversation dans Babylone. Il avait appris, dans le premier livre de Zoroastre, que l'amour−propre est un ballon gonflé de vent, dont il sort des tempêtes quand on lui a fait une piqûre. Zadig surtout ne se vantait pas de mépriser les femmes et de les subjuguer. Il était généreux; il ne craignait point d'obliger des ingrats, suivant ce grand précepte de Zoroastre, Quand tu manges, donne à manger aux chiens, dussent−ils te mordre. Il était aussi sage qu'on peut l'être;

bruit de paroles, qu'on appelait conversation dans Babylone. Il avait appris, dans le premier livre de Zoroastre, que l'amour-propre est un ballon gonflé de vent, dont il sort des tempêtes quand on lui fait une piqûre. Zadig surtout ne se vantait pas de mépriser les femmes et de les subjuguer. Il était généreux ; il ne craignait point d'obliger des ingrats, suivant ce grand précepte de Zoroastre : Quand tu manges, donne à manger aux chiens, dussent-ils te mordre. Il était aussi sage qu'on peut l'être

Hyrcanie : Prince qui croit enlever Astarté alors qu’il en lève Missouf qui a prit sa Place. Résumé: - L’Histoire commence à Babylone ou est raconter les mésaventures de Zadig un philosophe qui s’intéresse au écrit de Zoroastre. Au début il connaît deux histoire amoureuse une avec Sémire qu’il allait épouser mais que son rival Orcan kidnappe. Il essaye de l’empêcher mais il est blaiser. Il apprend par la suite qu’il sera borgne. A cette annonce Sémire le quitte pour