Zhou Enlai

par le président Truman en 1951. Les accords mettant fin à ces conflits sont donc négociés en présence des Chinois : en 1953 elle figure à la table des négociations de l’armistice de Pam Mun Jon ; en 1954, son ministre des affaires étrangères, Zhou Enlai, est un des artisans des accords de Genève qui mettent fin à la guerre d’Indochine. • La Chine, ennemi des Etats-Unis et leader du tiers-monde. Les EU qui organisent un embargo contre la Chine, deviennent alors les ennemis principaux ; ils

d’indépendance totale des anciens pays dominés, qui doivent s’unir pour résister à la suprématie du nord. Cette conférence fait émerger des personnalités phares du Tiers-Monde : Nehru pour l’Inde, Soekarno pour l’Indonésie, Nasser pour l’Egypte ou encore Zhou Enlai pour la Chine. L’union se consolide dans le cadre du mouvement des pays non-alignés, qui se réunissent lors de la conférence de Belgrade en 1961 autour de l’idée de neutralité dans un contexte de guerre froide où les deux Grands cherchent à étendre

que pour devenir un enjeu de la compétition Est-Ouest. Création clivage Nord-Sud s’ajoutant à celui EST-OUEST. Concrétisé par la conférence de Bandung puis en Juillet 1956 avec la conférence de Brioni initié par Tito Nasser (Egypte) Nehru (Inde) Zhou Enlai (chine) Conclusion partielle : Nouvelle prise de position du Tiers Monde face aux grands. III. Tournant pour les futurs ex-empire coloniaux c. L’exclusion des puissances européennes du MO  La crise de Suez (27 Octobre – 7 Novembre 1956) Le jeu des

conférence de Bandung s'est tenue du 18 au 24 avril 1955 à Bandung, en Indonésie, réunissant pour la première fois les représentants de vingt-neuf pays africains et asiatiques dont Gamal Abdel Nasser (Égypte), Nehru (Inde), Sukarno (Indonésie) et Zhou Enlai (Chine). Les participants dénoncent le colonialisme et apportent leur soutien aux mouvements de libération qui luttent contre les puissances coloniales. Ils déclarent ne pas vouloir s'aligner sur l'Est et l'Ouest, attitude qui fait naître le mouvement

Mao et a parti lié avec la femme de Mao (Jiang Qing) - les pragmatiques (il faut s'adapter à la réalité de la situation) dont deux leaders : Deng Xiaoping et Zhou Enlaï. Ils veulent les 4 modernisations, c'est moderniser le pays (4 modernisations) : agriculture, industrie, défenses et sciences et technologie. En janvier 1976, Zhou Enlaï a un arrêt du cœur et meurt. Et c'est Hua Guofeng qui le remplace en 1st ministre et il est choisi par Mao, il n'appartient à aucun des deux camps. Il devient

par la suite Président de la Fédération Internationale de Tennis de Table (FITT), a prétendu avoir visité la Chine avant les Championnats du Monde et a suggéré aux autorités sportives chinoises et au Secrétaire général du Parti communiste chinois Zhou Enlai une voie diplomatique pour la Chine qui passerait par le sport à l'occasion de compétitions internationales. Peu après, la Chine a profité du voyage de la championne américaine Leah "Miss Ping" Neuberger avec l'équipe nationale canadienne invitée

d’une coopération internationale pour aider au développement des pays les plus pauvres. Mais au terme de cette conférence, utilisée comme vitrine internationale pour des pays comme la Chine (représentée par son ministre des Affaires étrangères Zhou Enlai), des divergences d’opinions apparaissent entre pays pro-occidentaux, communistes et neutralistes. Elles ne permettent pas aux délégations présentes d’affirmer une position claire et commune de non-alignement par rapport aux États-Unis et à l’URSS

cas : niveau de vie faible car la croissance des rendements est presque totalement annulée par celle de la démographie que l’on ne maîtrise pas (malgré les campagnes de stérilisation forcée sous I.Gandhi ou la « politique de l'enfant unique » de Zhou Enlai en 1972) du fait des traditions culturelles et du paradoxe démographique du sousdéveloppement (corrélation entre pauvreté et comportements natalistes). - le niveau de vie des citadins est plus élevé mais ils sont minoritaires et le cadre de vie

Qiubai, stalinien qui va diriger le parti conformément aux directives du Komintern : l’objectif est de mener la guerre contre les nationalistes et les seigneurs de la guerre. Différentes offensives sont lancées : en Chine centrale, à Nanchang, par Zhou Enlai, et dans le Hunan sous la direction de Mao Zedong, notamment. Échecs successifs face à la mobilisation des nationalistes, ces assauts confirment les thèses de Mao Zedong sur la nécessité de rassembler les masses paysannes pour préparer la révolution

communistes. «Ces intellectuels se mirent à la tâche avec de profonds sentiments national et patriotique, en grande partie stimulés par les humiliantes 21 Demandes japonaises de 1915» Les étudiants ou académiques, tels que Deng Xhaoping, Mao Zedong et Zhou Enlai, formèrent des comités d’étude, des journaux, des revues dans le but de promouvoir les idées d’évolution et de révolution sociale, ainsi que d’adapter ou plutôt de siniser le marxisme, conçu à la base pour l’occident et son système industriel.