XXIe siècle

critères de la représentation du héros moderne, méritant ce titre honorifique. Si l’on veut parler de « héros modernes », la période à laquelle nous allons nous intéresser et qui correspond à cette modernité englobe la deuxième moitié du XXe siècle et le XXIe siècle. Ainsi, pour nous, lorsque l’on pense au concept de héros, notre esprit se tourne automatiquement vers l’admiration et l’incarnation d’un rêve collectif. Qui est un héros ? Celui qui fait don de soi, qui s’oublie au service d’un idéal. Voilà

1 Articles connexes 9.2 Bibliographie 9.2.1 Manuscrits de Léonard de Vinci 9.2.2 Éditions du Traité de la Peinture 9.2.3 Compilation des écrits de Léonard de Vinci 9.2.4 Sur Léonard de Vinci 9.2.4.1 XVIe siècle 9.2.4.2 XIXe siècle 9.2.4.3 XXe siècle 9.2.4.4 XXIe siècle 9.3 Films documentaires 9.4 Léonard de Vinci dans la culture populaire 9.4.1 Romans autour de Léonard de Vinci 9.4.2 Jeux vidéo 9.4.3 Films 9.4.4 Séries télévisées 9.4.5 Bandes dessinées 9

hommes et aussi une défense du mariage par amour, entre des jeunes de la même âge, avec de l’harmonie de condition et de beauté. Ce qui, d’après S. et. J. Dauvin, n’est pas nouveau ni original. En fait, l’union idéale recommandée par Molière au XVIIe siècle était fidèle à l’opinion généralisée sur le mariage à l’époque. Quant à la structure et l’intrigue de L’École des femmes, elle est divisée en cinq actes sans dédicace, dont le premier acte est la mise en place, et la présentation de la situation

touche à la fois à l’histoire des sciences et à l’histoire des relations entre la Chine et l’Europe. Je me propose de mettre en lumière les représentations qui sous-tendent les sources européennes de son époque, mais aussi l’historiographie du XXe siècle 5 , puis de montrer que les sources chinoises et mandchoues fournissent les éléments d’une interprétation prenant en compte le contexte politique et culturel. C’est à partir de cette interprétation et non à la place de celle-ci qu’une étude comparative

datée et comprise dans un cadre précis: celui du climat politique et religieux agité de l'Ecosse et de l'Angleterre au XVIIe siècle. Dans ce contexte, en effet, des loges d'un genre nouveau, séparées des " opératifs ", se sont affirmées en tirant avantage des conditions de sécurité et des préceptes qu'elles ont trouvé. Elles ont développé dans la seconde moitié du XVIIe siècle une nouvelle sociabilité, tolérante, et une culture originale, faite de l'amalgame en une sorte de cosmogonie de spéculations

Comment peut-on parler de démocratisation de l’école à partir de 1960 ? La démocratisation de l'enseignement en France désigne, d’une part, la massification de l'accès à l'éducation et à l'enseignement supérieur en France durant le XXe siècle, et en particulier dans l'après-guerre, sous l'effet, entre autres, du baby-boom. D'autre part, elle désigne une transformation de l'institution scolaire et de l'Université dans laquelle la corrélation statistique entre le parcours scolaire des élèves et

de la fin du XVIIIe siècle et les grandes codifications du XIXe siècle ont été édifiées. À la fin du XXe siècle ces paradigmes semblent disparaître ou se transformer. De cette évolution la codification d’aujourd’hui est tributaire. Codifier, recodifier, décodifier, pourquoi pas ne plus codifier ? Autrement dit, la codification ne tient-elle pas aujourd’hui d’un pari dépassé ? De la genèse de la codification au XVIIIe siècle à l’avenir de la codification au XXIe siècle, des certitudes du passé

rendre présents à celui qui médite devant elles, d’une manière sensible, le Christ et les figures saintes qui gravitent autour de lui. Elles doivent donc exprimer la vérité de Dieu. Avant l’apparition des représentations artistiques, vers la fin du IIe siècle, les croyants avaient à leur portée des textes, de la littérature, des récits et des témoignages qui exploitaient particulièrement le domaine de l’enfance du Christ. Par la suite, l’image est apparue comme une forme de langage plus ouverte, surtout

romantique par Sainte-Beuve[1], il semble qu'Agrippa d'Aubigné aurait manqué à ce XVIe siècle profond, pathétique et haut en couleurs que nous avons aujourd'hui parfois du mal à retrouver derrière les classements fades et normalisateurs de l'histoire littéraire[2]. Rappelons cette solennelle et flatteuse intronisation : « Nous avons dit que Régnier n'était point un Juvénal ; il y en eut pourtant un au XVIe siècle, âpre, austère, inexorable, hérissé d'hyperboles, étincelant de beautés, rachetant une

qui vient du père; le bien qui fait la fortune des familles - le XIXe siècle bourgeois en fera, avec Balzac, le symbole même de l'être au monde ramené à la propriété. Alors ? En serions-nous là ? Rendus craintifs par le changement de millénaire et réduits, au moment du passage, à faire et refaire l'inventaire de nos biens ? Embarrassés de nos avoirs et décidément incapables de sauter, les mains vides, dans l'inconnu du siècle qui vient ? Abordant l'avenir à rebours et, comme l'Angelus novus dont