Werther Vocabulaire

poète. Ce mouvement est identique à celui des anglais (on va chercher à valoriser l’imagination, l’irrationnel mais aussi cette volonté de transgresser les règles). Le poète phare est Goethe avec son œuvre la plus connu «  les souffrances du jeune Werther ». L’idée était que la jeunesse n’avait pas d’avenir, qu’elle n’avait pas sa place dans la société. Le livre à un succès fou. Mais peu de temps après s’en suivra un vague de suicide dû à cette œuvre. Ce mouvement sera le précurseur du véritable romantisme

faisant croire que ses poèmes n’étaient que la traduction des poésies d’un barde celtique nommé Ossian, mais aujourd’hui il est prouvé que Macpherson et Ossian sont un seul et même auteur - document 2 : ce roman de Goethe, Les souffrances du jeune Werther, (1774), fut immédiatement traduit en français et exerça une grande influence sur la littérature française - document 3 : Rousseau a écrit Les Rêveries du promeneur solitaire en 1776-78. Il s’agit d’un extrait de la « Cinquième promenade », chaque

« régnait » en maître. Mais les artistes voulurent un jour se libérer de ce « joug». Cette réaction se nomme le romantisme. Ce mouvement partit d’Allemagne.  Goethe marqua le mouvement avec son roman épistolaire appelé « Les Souffrances Du Jeune Werther » (1774), et avec des poèmes comme « Le Roi des Aulnes » ou « L’Apprenti Sorcier », … Le mouvement s’inspire beaucoup de Jean Jacques Rousseau et Shakespeare. Ce romantisme influença aussi la peinture allemande. Caspar David Friedrich illustre

noient dans l’encre les états d’âme désenchantés de la jeunesse post­napoléonienne.   Les souffrances du jeune Werther de Goethe est révélateur d’une facette non  négligeable de la littérature romantique.  Bien qu’il s’agisse d’une œuvre romanesque,  on se permettra de la citer ici puisque son auteur inspira bon nombre de poètes de ce  courant tels que Musset, Lamartine ou Hugo.  Le Jeune Werther provoqua une réelle  vague de suicides parmi ses lecteurs, tant il exhalait la mélancolie et la tristesse…  

écrit à son amant, c’est son départ pour la France qui motive sa démarche. De même dans les Héroïdes d’Ovide, c’est le départ d’Ulysse pour la guerre de Troie qui est à l’origine de l’épistolarité. Ou encore lorsque dans les souffrances du jeune Werther de Goethe, le personnage commence sa correspondance avec Wilhelm par : « Que je suis à l’aise d’être parti » Dans tous ces exemple c’est la distance physique qui incite à l’épistolaire. Que les êtres soient tourmentés, heureux, voulant faire partager

Exposé sur « Les Souffrances du Jeune Werther » de Goethe I – Introduction, Sturm und Drang et Extrait Les Souffrances du jeune Werther, publié en 1774, est un roman épistolaire écris par Goethe, et qui fît son succès immédiatement lorsqu’il n’avait que 24 ans. Le roman est écris sous la forme de lettres que Werther envoie à son ami Wilhelm, à partir du moment où il quitte sa ville pour dessiner la nature là où il va, jusqu’au moment où il lui avoue que la vie est devenu insoutenable, ensuite

nationalisme allemand a voulu faire de ce mouvement la révolte (nationale) du sentiment, de l'intériorité contre la superficialité abstraite des Lumières. Depuis le texte publié en 1936 par Georg Lukács sur le roman du jeune Goethe Les Souffrances du jeune Werther, l'idée d'une rationalité profonde du Sturm und Drang s'est imposée. Les spécialistes actuels définissent les relations de ce mouvement à l'Aufklärung comme critique et dynamisation, à l'intérieur des Lumières, en s'appuyant sur une définition du

Fiche de lecture : Les souffrances du jeune Werther de Goethe 1. L’identification de l’œuvre Johann Wolfgang Goethe (1749-1832) Les souffrances du jeune Werther Goethe, Les souffrances du jeune Werther, Paris, Garnier-Flammarion, 1968 Biographie de Goethe : Goethe, Johann Wolfgang Von (1749-1832), poète, écrivain et dramaturge allemand dont l’œuvre, depuis les Souffrances du jeune Werther jusqu’à Faust, est considérée comme l’une des plus importantes de la littérature

de la sensibilité, du sentiment, sur la rationalité. Cela s’illustre dans tous les récits qui racontent des grandes passions amoureuses, par exemple Atala et René de Chateaubriand, mais aussi Adolphe de Benjamin Constant, Les souffrances du jeune Werther de Goethe. Cet homme romantique, un être de sentiment, est hanté par une insatisfaction, une mélancolie, l'ennui, l’amour ou encore par la douleur. On peut ainsi parler de lyrisme romantique lorsque le poète décrit ses sentiments de façon passionnée

découverte sans ces difficultés. D’ailleurs, on trouve des exemples dans la vie de Goethe, l’auteur de cette phrase qui était destiné par son père à une vie de droit et qui suite à une déception amoureuse écrit son premier roman (les souffrances du jeune Werther) qui fit de lui un des auteurs les plus connus de l’époque. Quand on est face à des difficultés, ou des pierres qui entravent le chemin, plusieurs possibilités s’offrent à nous : soit on les évite, soit on enlève les pierres, soit on fonce dedans