Walid Joumblatt

lui fournit une aide militaire annuelle de 2,5 milliards de dollars. LIBAN : JOUMBLATT SUR LA CORDE RAIDE Les palinodies du leader druze Walid Joumblatt, chef du Parti socialiste progressiste, ont du mal à passer, non seulement auprès de ses anciens alliés du camp du 14-Mars, mais aussi au sein de son groupe parlementaire et même de son parti, rapporte une source locale. Rappelons qu’au mois d’août dernier, Joumblatt a opéré un virage spectaculaire en direction de la Syrie, en reniant ses prises

débarrassé de la tutelle syrienne et qui ne serve plus de champ de bataille aux conflits de la région. Il est composé pour l’essentiel de sunnites et une partie des chrétiens –dont le clan Gemayel- auxquels s’ajoutent, au début du moins, les druzes de Walid Joumblatt. Ce camp est soutenu par les pays occidentaux ainsi que par les grand états sunnites du Moyen-Orient, à commencer par l’Arabie Saoudite. Dans l’autre camp, appuyé lui par l’Iran et la Syrie, on retrouve les deux grandes formations chiites –le

(1989), n’a pas simplifié les engagements. Le général et Premier ministre Michel Aoun, maronite anti-syrien acharné jusqu’en 1990, et les chiites pro-syriens – Amal et Hezbollah – s’opposent dorénavant aux partis maronite de Samir Geaga, druze de Walid Joumblatt et sunnite de Saad Hariri, intégrés au gouvernement anti-syrien de Fouad Siniora. Désigné légalement en 2005, ce gouvernement est pourtant contesté après la démission de six ministres pro-syriens. Cependant, depuis l’attaque israélienne de 2006

juin. L’opération «paix en Galilée» avait marqué l’irruption du conflit dans les régions du Chouf et de Saïda, jusqu’alors relativement épargnées. À partir de septembre 1983, éclata la «guerre de la Montagne». Les druzes menés par Walid Joumblatt, fils de Kamal Joumblatt, soutenus par des combattants palestiniens et par l’artillerie syrienne, repoussèrent les Forces libanaises. Plus de deux décennies après les faits, alors que le Liban et le Moyen-Orient ont connu bien d’autres massacres de civils

des différents communautaires : - Beyrouth Ouest : protestations de l’ancien Mouvement national. - Chouf et Liban Sud (sous occupation israélienne) : le retour des Forces libanaises provoquent de nouvelles violences. Les Druzes (de Walid Joumblatt) reprennent les armes : les principales victimes sont les populations maronites/druze. La politique israélienne devient incohérente, soutenant (alternativement/en même temps) : les druzes/maronites. - Dans le Sud, l’alliance maronites/israéliens

du président syrien Assad, appuyer la négociation de paix entre la Liabn et Israël (elle aboutira au traité du 17 mai 1983) et surtout s'opposer aux pultiples rébellions qui minent l'Etat libanais : d'abord la dissidence ouverte du chef druze Walid Joumblatt, tenté de transformer son fief féodal du Chouf en véritable canton automone; ensuite la dissidence larvée du chef chiite Nabih Berri. Celui-ci a progressivement transformé le mouvement Amal en machine de guerre contre l'armée libanaise. Il est

polarisation de la scène politique libanaise entre les partis du « 8 mars », favorables au régime syrien, ceux du « 14 mars », opposés à ce régime, et un pôle « centriste » proche du président Michel Sleimane (comprenant notamment le chef druze Walid Joumblatt). Les chrétiens sont divisés entre les partisans du Général Aoun qui font partie du 8 mars et les « souverainistes » du 14 mars (Samir Geagea, Amine Gemayel notamment). Le mandat de Michel Sleimane est arrivé à échéance le 25 mai 2014 sans que

d’Amal. Juin : Israël achève son retrait, à l’exception d’une « zone tampon » contrôlée via l’Armée du Liban sud du général pro-israélien Lahad. Décembre : Accord tripartite entre Amal, les Forces libanaises et le Parti socialiste progressiste de Walid Joumblatt, qui semble ouvrir la porte à un règlement durable. 1987 20-26 février : Retour de l’armée syrienne à Beyrouth-Ouest, dont elle avait été chassée en 1982. 1989 14 mars : « Guerre de libération » contre la Syrie, déclenchée par le général Michel

réforme) - Phalanges libanaises (Amine Gemayel) - Forces libanaises (Samir Geagea) - • Les partis druzes : - Parti Démocratique Libanais • L’exception druze et communiste : - Parti socialiste progressiste (Walid Joumblatt), membre de l'Internationale socialiste • L’exception non confessionnelle : - Parti social nationaliste syrien (Ali Qanso) … c) La répartition des partis au niveau national (cf. annexe 4) Malgré la multiplicité des

des objets du siècle phénicien jusqu’au XIXe siècle. Il comprend des armes, costumes, bijoux et une collection unique de mosaïque Byzantines. Créé en 1985, le Festival de Beiteddine voit le jour en pleine guerre civile sous l’impulsion de Walid Joumblatt. L’espace de deux saisons, le festival propose concerts, représentations théâtrales et conférences, avant d'interrompre ses activités en raison de la guerre. Depuis 1993, il réunit chaque été sur le site du Palais de Beiteddine des artistes du