Voyeurisme

Internet) tout en offrant la possibilité de construire des réseaux virtuels, informels et superficiels. Paradoxalement, Internet permet aussi une mise en scène de sa vie (blog) et autorise à exposer son intime au public, en s’appuyant sur une sorte de voyeurisme, qui fait la fortune des émissions de télé réalité et de plateaux, où tout à chacun peut déballer ses soucis, comme pour une « thérapie » médiatique. La forte croissance de l’offre de programmes télévisuels et la diffusion des DVD contribuent à

corps dans leur aspect « pris sur le vif ». Plus encore, l’utilisation du gros plan recréé ici une forte proximité entre le spectateur et le personnage, un « toucher » que le cinéma ne peut permettre mais qui est compensé par la vue. Un état de voyeurisme (il faut souligner que le titre de cette série est I Mostri, qui vient du latin monstrare, qui signifie montrer.) qui est aussi illustré par le fait que les personnages traversent toujours le champ de l’image, ce qui instaure une proximité . Le

enthousiasme enfantin « nous le baptiserons, nous le baptiserons » de la part des deux femmes vient amplifier l’idée de bêtise. -pour finir, les deux femmes paraissent être frivoles lorsqu’elles regardent par la serrure pour voir comment le huron dort => Voyeurisme ¤¤¤Les perso veulent le baptiser à tout prix => prosélytisme ¤¤¤ 2) annonce les thèmes (a) la religion -on trouve les trois religions chrétiennes « anglicane, gallicane, huguenote » -les perso parlent de baptême (b) les mœurs et les coutumes

lumière, au dessus, bcp mieux. Connexion entre ces deux mondes. Initier former vs pouvez a travaillé a reprendre contact ac ce monde illuminer. Retrouver la source de lumière divine. -> Comme ds le fantastique, voir cour. B) Spectacularisation et voyeurisme Elle apparait au moment du jaillissement du fantastique : effet litt de spectacularisation. Ds Carmilla : accident ac la calèche. Jaillissement du carrosse qui traverse la pleine. Les 2 chevaux font un écart à sa vue : -> spectacle d’une scène

et WATERHOUSE à Victorine Meurent de MANET, à Gala de DALI, Lee Miller de MAN RAY ou Dora Maar de PICASSO, entre autres ?Cette relation binaire convoque la présence d’un tiers, le spectateur. Cette triangularité des regards posera la question du voyeurisme et donc bien sûr de la valeur d’exposition et de la réception par le public de l’œuvre. Si le modèle est déjà présent dans l’histoire des arts et sporadiquement réinvesti, quel est le regard que l’artiste porte sur lui ? Est-ce une nouvelle pensée

activité est secrète, et ne doit pas être connue de l'observé. Chez le gentilhomme, cette activité est de l'ordre de l'espionnage, mis en embuscade dans la forêt pour le compte de M. de Clèves, alors que celle de M. de Nemours se rapproche plus du voyeurisme, d'un jeu de cache-cache exaltant, mais aussi pervers. Il épie Mme de Clèves dans un moment intime, il est ici une figure du libertinage, à une époque réglée par les codes moraux et sociaux, dont il semble faire peu de cas. Il se poste derrière

montrent de plus en plus de photo croustillante, pour que le citoyen sera le plus intéressé à acheter cette gazette, comme par exemple « Die Bild ». Todd Gitlin, spécialiste des médias à New York University affirme que « à défaut de sombrer dans le voyeurisme, nous coulons nos vies quotidiennes dans le moule télévisuel » ce qui veut dire que la télé est un model. C’est un divertissement qui dit au citoyen comment il doit vivre, comme par exemple la téléréalité. Le citoyen n’a pas était confronté davantage

perspective est brisée voire inexistante. L’accent est mis sur la verticale. Il y a une absence totale de pudeur chez les cinq femmes représentées, leurs regards sont braqués sur le spectateur, sans communication entre elles. Cela oblige le spectateur au voyeurisme. Lorsque Picasso a peint cette œuvre, il a ignoré les canons esthétiques qui traditionnellement présidaient à la représentation du nu féminin. Les corps sont déformés. La femme assise présente à la fois son dos et son visage. L’influence de l’Art

porte-drapeaux de la douleur. III. ANALYSE ICONOGRAPHIQUE ET ICONOLOGIQUE DE DIE SKATSPIELER Otto Dix va stigmatiser cette instrumentalisation des mutilés de guerre. Représentés à la terrasse d'un café Les joueurs de Skat exposent leur morbidité à l'avide voyeurisme des passants. Les journaux placés derrière eux viennent signifier l'approbation de ce sordide spectacle par les discours et voies officiels. A gauche du tableau, le premier personnage n'a pour seul bras qu'une sommaire prothèse de bois qui sort

plan, semble chuter vers le spectateur. La provocation est moins dans le thème choisi que dans son traitement. L’absence totale de pudeur des cinq femmes, leurs regards braqués sur le spectateur, sans communication entre elles, obligent celui-ci au voyeurisme, tandis qu’il est lui-même dévisagé. En cela, Picasso est un héritier de l’Olympia de Manet, qui met déjà en scène une prostituée au regard impudique. Picasso ne se préoccupe pas des canons esthétiques qui président traditionnellement à la représentation