Voûte d'arêtes

cours du XIIe  siècle, notamment avec l’emploi de la forme brisée (arc et voûte) même si le plein cintre demeure toujours utilisé seul (Vézelay) ou en association (Accolay). De nombreux témoins de cette floraison attestant des influences diverses jalonnent tout l’Yonne mais tous manifestent le choix pour le voûtement de pierre. Se pose alors la question de l’éclairage direct, celui-ci affaiblissant le mur qui « supporte » la voûte. On remarque que l’éclairage direct, fortement présent en Bourgogne (Saône-et-Loire ;

conques (= parties arrondies) qui étaient voutées en quart de sphère plan qui se superpose au plan de l'église de la nativité à Bethléem (similitudes dans les dimensions) crypte-salle = élément essentiel de la grande salle centrale qui abrite des reliques, des autels = continuité de l'architecture carolingienne. nef plus sobre avec des piliers assez massifs ==> parti architectural plus massif. Au dessus des fenêtre hautes : vestiges d’une voute d'ogives qui s'est effondrée. À l'extrémité

suffisante pour être considéré comme le premier style international, avec un cadre européen. Son domaine d'expression est essentiellement religieux avec notamment l'adoption du plan basilical pour les églises et la généralisation de l'emploi de la voûte en berceau. Les deux âges romanes Le premier art roman : Le premier art roman est un art méridional et international. correspondant à la période allant de l'an mille à la première croisade vers 1100, se développe en Italie, dans la région de Côme

la circulation, pièce plus longue que large, délimité dans un étage par les divisions des murs, des cloisons, des alignements de supports verticaux et ayant une fonction de passage. " la voûte quadripartite : c'est le croisement de deux ogives, formant quatre voûtains et reposant sur quatre piliers la voûte sexpartite : c'est le croisement de trois ogives, formant six voûtains et reposant sur six piliers, quatre piles dites fortes, plus larges et épaisses et deux piles dites faibles, plus fines

l'horizontalité. • Aspect solide des constructions grâce à l'emploi de gros murs réalisés en pierre de taille. • Emploi du plan basilical ou de la croix latine avec trois nefs et absides semi-circulaires. • Emploi de la voûte en berceau et la voûte d'arêtes. • Utilisation de l'arc en plein cintre. • Emploi de contreforts à l'extérieur. • La sculpture Elle est subordonnée à l'architecture (reliefs) et elle apparaît surtout sur les façades et chapiteaux des églises, bien

prenant appui sur les éperons d'arêtes et soulageant, à l'aide d'ancrages, les éperons intermédiaires. Ces arcs, normaux aux enveloppes, forment comme les lits d'un appareil rayonnant ; continus, ils auraient donné- à supposer l'enveloppe interne supprimée- une coupole côtelée. En fait, le dôme de Florence reste plus proche des tours-lanternes médiévales que des coupoles de l'âge classique. En dépit de son importance constructive (puisqu'il reste la plus grande voûte élevée sans cintre), on ne saurait

architectural est physique, tactile. Déjà le peintre et surtout le sculpteur aimaient à laisser dans l’œuvre achevée des traces de la création. Cette fois, le travail continue sous nos yeux. Aussi longtemps qu’il tiendra, l’arcboutant contre-butera la voûte, le tambour portera la coupole. La construction de l’édifice est un élément permanent de son message. Évidemment, il en va d’elle comme de la destination. Pour qu’elle fasse partie de la langue de l’architecture, il faut qu’elle y soit sensible, expressive;

nefs latérales sont de même hauteur que la nef centrale, on peut alors parler d’église-halle) ; la nef est séparée en travées (partie délimitée par quatre piles) ; la nef centrale est généralement couverte d’une voûte en berceau, les bas-côtés de voûtes en demi-berceau ou de voûtes d’arêtes (entrecroisement de deux voûtes en berceau) ; il peut y avoir une seule élévation, les grandes arcades ou une double élévation, les grandes arcades et les tribunes (étages au-dessus des bas-côtés dans lesquels les

d'assemblages d'automobiles Chrysler. Le Chrysler Building compte 3 862 fenêtres réparties sur 77 étages. La flèche: Le Chrysler Building est aussi connu pour sa flèche en gradins. Composée de sept arches, la flèche conçue par Van Alen est de type voûte d'arêtes. Le bardage est nervuré et riveté. Un motif de soleil rayonnant avec de multiples fenêtres de forme triangulaire borde chaque arche. La flèche est plaquée d'un métal argenté appelé « Nirosta ». Au-dessus du 71e étage, les étages sont conçus

et de basiliques comme la Basilique Saint-Sernin de Toulouse illustrent le développement de l'art roman. L'architecture L'architecture de ces édifices restent cependant simples. Elle se caractérise par ses voûtes en berceau (semi-circulaires), d'arêtes (deux voûtes qui se croisent), par ses coupoles et par la construction de contreforts. Système hérité des basiliques antiques, les lourdes voûtes en pierre sont renforcées par des arcs-doubleaux s'appuyant sur des chapiteaux. Qui sont à lors tours