Vote plural

LE VOTE DES JEUNES EN FRANCE En 1974, le président Valéry Giscard D’Estaing ramène l’âge de la majorité de 21 à 18 ans, permettant ainsi aux jeunes de voter dès leur 18 ans. *Qu’est-ce que l’on entend par « vote des jeunes » et qui sont les jeunes votants ? Il s’agit des votes de la population âgée de 18 à 24 ans. Ces jeunes sont des lycéens, des étudiants, de jeunes actifs ou de jeunes chômeurs, des jeunes de tous les milieux sociaux. Depuis la loi du 10 novembre 1997, les jeunes atteignant

l’ordre et la stabilité politique. De même, le suffrage censitaire prive la plupart des habitants des campagnes (qui ne peuvent pas payer le cens) du droit de vote, seuls les plus fortunés, les grands propriétaires peuvent voter. Au fil des années, ceux qui sont privés de ce droit entretiennent le désir de pouvoir eux aussi s’exprimer par le vote. Les campagnes deviennent un enjeu pour les élections avec la mise en place du suffrage universel (le 2 mars 1848), il faut convaincre les habitants des campagnes

(président du gouvernement), de ses collègues du gouvernement, des représentants du canton au conseil des Etats, des juges et de certains fonctionnaires. Les votations s'y déroulent également. Le résultat du vote est le fruit d'une estimation plutôt que d'un calcul précis.Il n'y pas de secret du vote, le vote à main levée permet de savoir ce que pensent les voisins ou les amis, ainsi que la durée (plusieurs heures) de la procédure conduisent les citoyens à se désintéresser de cette forme de participation

social lui permettent-ils de prendre des positions de pouvoir et dans une moindre mesure la prise de parti pour le FN et le vote FN recouvrent-ils une adhésion populaire ? On répondra alors en deux temps, en étudiant premièrement les facteurs du succès du Front National, à travers son implantation électorale et sa structure organique. Puis par une d’analyse de l’évolution du vote FN. I. De l’implantation électorale du Front National à sa structure organique, les facteurs du succès FN. A

un caractère représentatif. En effet, c’est un mandat non impératif. Le représentant est complètement libre. Il n’est en aucune façon lié par des instructions précises, qu’il aurait reçu des électeurs. Il a entière liberté d'opinion, de parole et de vote. En droit, il n'a pas de comptes à rendre à ceux qui l'ont désigné. L’indépendance de l’élu est traditionnellement proclamée dans l’article 27 de la Constitution de 1791, par l’affirmation suivante : « Tout mandat impératif est nul. ». Enfin, le

et AN c’est l’AN qui a le dernier mot. Le principe de la navette : une lois discuté par AN doit être envoyé au Sénat qui doit être à nouveau discuté apporte amendement et renvoie à AN et réamendé discuté par L’AN. Version voté par l’AN devient la loi. 3e lecture le texte voté par l’AN même si le Sénat est pas d’accord. On établit pas une ASS toute puissante il y a négociation. Mais l’AN peut prendre décision seule. Une idée d’échange mais sans blocage. Mais PCF et SFIO sont pour un grand pouvoir

population sont les électeurs aux élections communales. Seulement, le traité de Maastricht donne le droit mais pas l’obligation aux citoyens de l’union européenne ou non de participer aux élections communales mais à l’obligation de se rendre au bureau de vote (une seule voix et secret). Ensuite, le conseil communal est constitué de membres élus directement par les habitants de la commune pour 6 ans. Le nombre de conseillers varie de 7 à 55 en fonction de l’importance de la population entière. Ceux-ci

français, Jean-François Revel, déclare paradoxalement, dans un Entretien avec Pierre Assouline en 1988 que : « La civilisation démocratique est entièrement fondée sur l’exactitude de l’information. Si le citoyen n’est pas correctement informé, le vote ne veut rien dire. » Il admet donc par cette thèse, qu’un individu , prenant part au scrutin, ne va pas forcément voter pour la cause qu’il défend, cela étant dû à sa méconnaissance du sujet. Son suffrage est donc insignifiant et fausse le résultat

décret et fait démissionner Gambetta  à division au sein des républicains.   Elections du 8 février 1871 = élections en semaine, au chef lieu du canton… vote massif pour la paix et l’ordre (l’opposition est la liste jacobine de Gambetta) envoie une grande majorité de monarchistes. En l’absence de campagnes électorales, les ruraux ont voté pour des figures connues.  Assemblée « introuvable » réunie à Bordeaux : Président : Jules Grévy. Mais le chef du pouvoir exécutif (le 17 février) = Thiers qui

respecter les droits et les intérêts de ses adversaires ? Une assemblée de représentants serait plus à même de respecter mieux les libertés de la minorité que le peuple lui-même, elle est plus raisonnable moins démagogue. Dans un régime représentatif, le vote est un mode de désignation et pas un transfert de responsabilité. Les élus tirent leur légitimité, non par délégation de la souveraineté de leurs électeurs, mais du fait même de leur élection qui est donc un mode d'investiture dans la fonction. L'électorat