Voila

pfffffffffffffffffffffffffff . Je sens que cette journée va être extrement longue . Je me leva donc . Me traina difficilement hors de mon lit . Trébuchant sur la queue de mon stupid chat cleante , qui me fit atterir dans le miroir sur le côté de mon lit » . Et voila ! Et voila ! Et voila ! Il ne manquait plus que ça ! 7 ans de malheurs ! Bon sang en plus d’être très très longue cette journée s’annonce horrible . J’ai pas le temps , de ramasser les morceaux . J’ai à peine le temps d’essuyer le sang sur mon front dû a la chutte 

avec égarement et comme ne pouvant en croire ses oreilles.
              Ô mon Dieu ! – Dieu clément !
Dieu juste ! De quel crime est-ce le châtiment ?
Qu'est-ce donc que j'ai fait ? Vous êtes notre père,
Et vous ne voulez pas qu'un homme désespère !
Voilà donc où j'en suis ! – et, volontairement,
Et sans tort de ma part, – pour voir, – uniquement
Pour voir agoniser une pauvre victime,
Monseigneur, vous m'avez plongé dans cet abîme !
Tordre un malheureux coeur plein d'amour et de foi,
1440 - Afin d'en

plus légitime ; les ancêtres ont fait de nous ce que nous sommes. Un passé héroïque, de grands hommes, de la gloire (j’entends de la véritable). Voilà le capital sur lequel on assoit une idée nationale. Avoir des gloires communes dans le passé, une volonté commune dans le présent, avoir fait de grandes choses ensemble, vouloir en faire encore, voila les conditions essentielles pour être un peuple. On aime en proportion des sacrifices qu’on a consentis, des maux qu’on a soufferts. On aime la

des dieux, Artémis médit de toi. Elle t’accuse de l’avoir offensée, voilà pourquoi cette sentence est si cruelle. Voilà pourquoi c’est ta fille qui doit être sacrifiée. Voilà pourquoi les dieux, poussés par Artémis seront contre nous… LE CHŒUR : Ô malheureux, toi qui, régnant sur la paisible cité de Mycènes, avais atteint un bonheur presque complet. Non seulement la guerre jette un froid sur ta bonne fortune, mais en plus, te voilà forcé de faire un choix cornélien2. Nul doute que ton devoir l’emportera

Nous en fîmes un énorme butin, non pour nous en régaler, mais pour le jeter aux porcs. Sans doute nous en mangeâmes un peu, mais notre seul plaisir fut d’avoir commis un acte défendu. Voilà mon cœur, ô Dieu, voilà mon cœur dont vous avez eu pitié au fond de l’abîme. Qu’il vous dise maintenant, ce cœur que voilà, ce qu’il cherchait dans cet abîme, pour faire le mal sans raison, sans autre raison de le faire que sa malice même. Malice honteuse, et je l’ai aimée ; j’ai aimé ma propre perte ; j’ai

triple menton. Salut, maître Blazius ; vous arrivez au temps de la vendange, pareil à une amphore antique. MAITRE BLAZIUS Que ceux qui veulent apprendre une nouvelle d'importance m'apportent ici premièrement un verre de vin frais. LE CHOEUR Voilà notre plus grande écuelle ; buvez, maître Blazius ; le vin est bon ; vous parlerez après. MAITRE BLAZIUS Vous saurez, mes enfants, que le jeune Perdican, fils de notre seigneur, vient d'atteindre à sa majorité, et qu'il est reçu docteur à Paris

moquerie et sur l’emploi abusif du mot « détestable ». Comique de répétition. - Dorante va chercher à montrer que le marquis n’a pas d’argument, que sa position n’est pas réfléchie, en passant par l’ironie & l’antiphrase (« l’autorité est belle, et te voilà bien appuyé », « ces Messieurs du bel air »). Il va aussi poser des questions pour demander au marquis les raisons de son jugement. S’exprime avec éloquence, tirades avec registre oratoire. Il des convictions fortes exprimées dans sa tirade => donne

Jacques : Qui le sait ? Le maître : À tout hasard, commence toujours... » Jacques commença l’histoire de ses amours. C’était l’après-dîner : il faisait un temps lourd ; son maître s’endormit. La nuit les surprit au milieu des champs ; les voilà fourvoyés. Voilà le maître dans une colère terrible et tombant à grands coups de fouet sur son valet, et le pauvre diable disant à chaque coup : « Celui-là était apparemment encore écrit là-haut... » Vous voyez, lecteur, que je suis en beau chemin, et

était fair * du jardinage * et j'ai manger il y a 10 min  :) * Et toi ? * Ah je suis contente pour ton pc.  * et moi, rien.. J'ai terminer un peu mes devoirs cette aprem et tout, et ta l'heure on a était manger au chinois.. enfin voila quoi Tu mange souvent au chinois Lol ouais, mes parents aime bien. et puis.. c'est bon labas. ^^ c'était qui ton ex que t'avais au tel..? sans indiscretion..? Ben Mazia * ok * je vais te laisser je crois.. Tu vas dodo ?

"Quoi [...] qu'il vous destine ?" l.1, "que voulez-vous de plus ?" l.7, "Voilà une pensée bien hétéroclite" l.21-22 ⇒ trahit la surprise et l'émotion d'une servante par rapport aux propos inattendus pour elle de Silvia. ● Opposition entre un comportement non conformiste "vous n'épouserez pas" et la destinée des filles de l'époque "celui qu'il vous destine" l.1 ⇒ explicite la raison de son étonnement. ● Réponse avec bon sens "voilà une pensée bien hétéroclite" l.21-22 à l'argument ridicule "il est bel