Voila

dites ...vous disiez ... ne diriez-vous pas ... », le narrateur semble porter une accusation a l’Homme et lui reprocher ses jugements de valeur. Cela est montré par la répétition de la préposition « voilà » et l'usage de qualificatifs déterminants : « voilà un bon oiseau ... voilà un brave homme, ... voilà de sots animaux ». De plus, dans les scènes où figurent l'être humain confronté à la bête (comme dans les passages sur la chasse ou l'arbitrage du combat de chiens), La Bruyère replace l'Homme au

conscience de la société tout entière ; que je m'en sens, moi, qui parle, complice et solidaire (Mouvement), et que de tels faits ne sont pas seulement des torts envers l'homme, que ce sont des crimes envers Dieu ! (Sensation prolongée.) Voilà pourquoi je suis pénétré, voilà pourquoi je voudrais pénétrer tous ceux qui m'écoutent de la haute importance de la proposition qui vous est soumise. Ce n'est qu'un premier pas, mais il est décisif. Je voudrais que cette assemblée, majorité et minorité, n'importe

si je plais encore ce sera par souvenir, ou par concupiscence. Mais il est bien des choses qui sont moi plus que d’autres, j’ai un caractère, une manière de penser, j’ai ce qu’on appelle des qualités et des défauts ainsi que des compétences. Mais voila, comme mon visage, mon caractère change, et il se peut qu’il change profondement, tellement profondement que celui qui m’a aimé ne m’aimera peut-être plus un jour. Ressortons un instant du texte, je vois qu’on ne m’attend pas, qu’on m’aime pour des

mise à part peut être la réputation de sa famille pour dire que ça famille est noble et qu'elle le restera. D'ailleurs ça me revient, je crois pas qu'à l'époque ils aient le droit de se marier entre eux enfin pas dans la famille noble. Scène 3 Voilà une petite dispute comme on les aimes entre Maître Blazius et Maître Bridaine. Avec des pauvres autour, je pense qu'ils sont la rien que pour rendre la scène comique et rien d'autre enfin je pense que c'est comme pour la scène une ou ils salissent

l'épouser sans cérémonie ; aimable, bien fait, voilà de quoi vivre pour l'amour, sociable et spirituel, voilà pour l'entretien de la société : pardi, tout en sera bon dans cet homme-là, l'utile et l'agréable, tout s'y trouve. SILVIA Oui dans le portrait que tu en fais, et on dit qu'il y ressemble, mais c'est un, on dit, et je pourrais bien n'être pas de ce sentiment-là, moi ; il est bel homme, dit-on, et c'est presque tant pis. LISETTE Tant pis, tant pis, mais voilà une pensée bien hétéroclite ! SILVIA C'est

cérémonie ; aimable, bien fait, voilà de quoi vivre pour  l'amour, sociable et spirituel, voilà pour l'entretien de la société : pardi, tout en sera bon  dans cet homme-là, l'utile et l'agréable, tout s'y trouve.  SILVIA  Oui dans le portrait que tu en fais, et on dit qu'il y ressemble, mais c'est un, on dit, et je  pourrais bien n'être pas de ce sentiment-là, moi ; il est bel homme, dit-on, et c'est  presque tant pis.  LISETTE  Tant pis, tant pis, mais voilà une pensée bien hétéroclite ! 

elle commencait quelque choses elle le finisait mais c est ce qu elle dit apres moi je ne sais pas je n etais pas la dans ces circonstances la mais voila elle veut que je sois comme elle que j aie l envie de faire tout ce qu elle a fait moi persos je me dis c est plus de cette generation maintenant c est papa maman qui paye les enfants recoivent et voila meme que moi j ai l impression que j ai pas tout recu j entends souvent ouai moi mes parents me payent mes etudes me donne 200.- pour manger la

jugerez à propos. Je ne sais si j’aurai la force de lui faire cette confidence. ÉLISE : Scène 2 Cléante, Élise. CLÉANTE : Je suis bien aise de vous trouver seule, ma sœur ; et je brûlais de vous parler, pour m’ouvrir à vous d’un secret. Me voilà prête à vous ouïr, mon frère. Qu’avez-vous à me dire ? Bien des choses, ma sœur, enveloppées dans un mot. J’aime. ÉLISE : CLÉANTE : ÉLISE : Vous aimez ? CLÉANTE : Oui, j’aime. Mais, avant que d’aller plus loin, je sais que je dépends

qu'elle devait épouser légitimement, et qu'il demandait un grand prix de son service ; qu'elle avait une répugnance horrible pour une telle infidélité, et que, s'il ne s'agissait que de sa propre vie, elle la sacrifierait plutôt que de succomber. Voilà un abominable pécheur! lui dit le P. Tout−à−tous. Vous devriez bien me dire le nom de ce vilain homme ; c'est à coup sûr quelque janséniste ; je le dénoncerai à sa révérence le P. de La Chaise, qui le fera mettre dans le gîte où est à présent la chère

l'homme, ou plutôt ici son absence de nature, est incompatible avec un tel réquisit. C'est du moins ce qu'il conviendra d'examiner. I. Analyse détaillée du texte 1. Désir et bonheur a) L'homme est un être capable du sentiment de plaisir et de peine Voilà le fait premier d'où part Rousseau dans le premier mouvement du texte : l'homme (comme d'ailleurs tout animal) est un être sensible, c'est-à-dire susceptible de ressentir de la douleur comme du plaisir. Et comme tout animal encore, il tend tout naturellement