Voila

mesuré au puissant Iphicrate ! Il va voir ce qu’il va voir (serrant le point). En attendant me voilà bien embêté, peut être de simples excuses suffiraient pour que tout rentre dans l’ordre (il secoue la tête et rigole). Jamais tant que dieu veillera sur Iphicrate le Grand il fera ses excuses à un pauvre esclave à qui la mort ne créerait nul sentiment chez chacun. Je vaux plus que ça et pourtant me voilà ici. Que faire ? (il réfléchit). Imaginons que je suis son esclave… Non comment ose-je dire des

toutes ces années qu’on se connaît et toutes les fois ou tu m’as fait rire, tous les matins ou je te trouvais belle et tous ces moments qu’on a passés ensemble, je t’avoue qu’une pincée de nostalgie vient me cueillir et m’emmène vers d’autres cieux. Voilà la partie philosophe faite, je peux maintenant passer à autre chose pour te souhaiter un super camp, je sais pas trop ou t’es mais je compte sur toi pour t’amuser a Maxx avec toutes tes potoss et prendre full plaisir pour revenir la tête remplie de

diantre voulez-vous qu'on fasse pour vous voler ? Etes-vous un homme volable, quand vous renfermez toutes choses et faites sentinelle jour et nuit ? HARPAGON . -- Je veux renfermer ce que bon me semble et faire sentinelle comme il me plaît. Ne voilà pas de mes mouchards qui prennent garde à ce qu'on fait ? [(A part.)] Je tremble qu'il n'ait soupçonné quelque chose de mon argent. [(Haut.)] Ne serais-tu point homme à aller faire courir le bruit que j'ai chez moi de l'argent caché ? LA FLECHE

Comment diantre voulez-vous qu'on fasse pour vous voler ? Etes-vous un homme volable, quand vous renfermez toutes choses et faites sentinelle jour et nuit ? HARPAGON : Je veux renfermer ce que bon me semble et faire sentinelle comme il me plaît. Ne voilà pas de mes mouchards qui prennent garde à ce qu'on fait ? (A part.) Je tremble qu'il n'ait soupçonné quelque chose de mon argent. (Haut.) Ne serais-tu point homme à aller faire courir le bruit que j'ai chez moi de l'argent caché ? LA FLECHE : Vous

bonjour ! voilà , j'ai une dissertation à faire en français (je suis en seconde) , c'est ma première dissert' et je galère un peu , le sujet est le suivant: "Pour ou contre les jeux-videos . De nombreux psychologues et éducateurs tirent la sonnette d'alarme. Qu'en pensez vous?" Je connais le système avec le plan , les arguments je les ai mais comme j'en n'ai jamais fait , je bloque un peu sur l'introduction ( accroche + présentation du sujet + présentation des deux grandes parties) , et sur la

utilisent-ils l'art au service de leur idéologie ? Objet d'étude : Les affiches de propagandes et chanson « Maréchal, nous voilà » . L'Imagerie du Maréchal. Matière : Éducation Musical / Histoire Géographie Illustration : Œuvre étudiée : « Maréchal, nous voilà » ► 1ère partie: présentation L'auteur/ l'artiste : Les paroles sont d’André Montagard et la musique ( de Charles

Flaminia Arlequin. Mon amie, vous me gagnez le cœur. Conseillez-moi dans moi dans ma peine ; réfléchissons ; quelle est votre pensée ? Car je n’ai point d’esprit, moi, quand je suis fâché. Il faut que j’aime Silvia ; il faut que je vous garde. Me voilà bien embarrassé. Flaminia. Et moi bien malheureuse ! Depuis que j’ai perdu mon amant, je n’ai eu de repos qu’en votre compagnie, je respire qu’avec vous ; vous lui ressemblez tant, que je crois quelquefois lui parler ; je n’ai vu dans le monde que

qu'elle est une source de conflit . Voilà j'espère que ça pourra t'aider "Sujet: "Celui qui diffère de moi, loin de me léser m'enrichit ?Qu'en pensez -vous .Rédigez un essai à plan nuancé illustré par des exemples précis La problématique:La différence est-elle toujours une source d'enrichissement? La Thèse:La différence est une source d'enrichissement. L'Anti-thèse: Cependant, il n'en est pas moins vrai qu'elle est une source de conflit . Voilà j'espère que ça pourra t'aider

minute se loger entre eux, elle devient des mois, des années, (l.8) des siècles. Forcez-les à s’embrasser, vous autres, sinon dans l’heure elle (l.9) sera la Folle de l’Alma et à lui il poussera une barbe blanche… Bravo ! (l.10) Que n’avez-vous été là voilà trente ans. Je n’y serai pas aujourd’hui. Mon (l.11) cher sourd-muet, taisez-vous. Vous nous cassez les yeux. Irma n’est plus là (l.12) pour vous traduire. (l.13) Irma, des bras de Pierre Il dit que nous nous embrassons. (l.14) La Folle Rien

qu'est-ce que cela, soixante ans? Voilà bien de quoi! C'est la fleur de l'âge cela, et vous entrez maintenant dans la belle saison de l'homme. HARPAGON: Il est vrai; mais vingt années de moins pourtant ne me feraient point de mal, que je crois. FROSINE: Vous moquez-vous? Vous n'avez pas besoin de cela, et vous êtes d'une pâte à vivre jusques à cent ans. HARPAGON: Tu le crois? FROSINE: Assurément. Vous en avez toutes les marques. Tenez-vous un peu. Ô que voilà bien là, entre vos deux yeux,