Voies respiratoires

jeunes produits par an page 18 Largent gagn chaque anne page 19 Conclusion page 20 Annexe 1 Anatomie gnrale des perroquets Annexe 2 Appareil respiratoire des perroquets Annexe 3 squelette des perroquets Annexe 4 dpense nergtique des perroquets Annexe 5 composition mlange de graines pour perroquets Annexe 6 composition des extruds P15 pour perroquets Annexe 8 mlange de fruits frais chez Mr xxxxxx

a besoin davantage d’oxygène , par exemple au niveau des muscles, sachant qu’un muscle a besoin d’O2 pour pouvoir fonctionner, plus il produit un effort important plus il a besoin d’O2 ce qui fait que l’organisme s’adapte et demande au système respiratoire de renvoyer plus d’oxygène. Ce qui fait que la respiration augmente en fréquence et s’intensifie prenant plus d’aire à chaque fois, les poumons augmente leurs volume et contienne un volume plus important. Voici les résultats de cinq personnes

Association d’atome. 4. Classer les éléments suivants dans un tableau en précisant si c’est un exemple de : organisme, appareil, organe, tissu, cellule, organite, molécule ou atome. Organisme : homme, souris, chien. Appareil : appareil respiratoire, appareil urinaire. Organe : rein, poumon, intestin grêle, cœur, cerveau, œil. Tissu : peau, muqueuse digestive, tissu épithélial, sang, myocarde. Cellule : globule rouge, cellule buccale, globule blanc, neurone, entérocyte. Organite : mitochondrie

succession de 8 réaction biochimiques Phosphorylation oxydative séquences matricielles finales de transfert d'e- à O2 aboutissant à la production d'ATP une molécule de NADH va donner 3ARP et une molécule de FADH va donner 2 molécule ATP Chaîne respiratoire... chaîne d'oxydo-réduction transportant les e- de NADH, H+ et FADH jusqu'à O2 transport progressif verr sle site final Succession de système redox 4 fixes=complexes de Green (I, II, III et IV) 2mobiles ( coenzyme Q et cytochromec) 3 sites de pompage

 FONCTIONNEMENT DE L’ORGANISME ET BESOIN EN ENERGIE ACTIVITE MUSCULAIRE ET BESOIN EN ENERGIE Au cours d'un effort physique, quand les muscles sont en activité, on constate que le rythme cardiaque et le rythme respiratoire s'accélèrent, la température corporelle augmente. Ces variations sont la réponse de l'organisme à l’augmentation de l'activité pour répondre aux besoins des muscles. I-Les besoins des muscles Les muscles comme les autres organes ont besoin d’énergie

analgésiques de niveau 2  ou opiacés faibles : 1 Codéines Provient de l'opium. Analgésique morphinique faible qui faible effet dépresseur respiratoire. Elle est souvent associée au paracétamol. Contre-indications : asthme , insuffisance respiratoire, grossesse, allaitement Effets-secondaires : constipation, nausée, vomissement, détresse respiratoire, somnolence Prescrit pour la douleur et faire attention à la dépendance. Posologie chez l'adulte : 30 à 60mg une à trois fois par jour

l’eau .les animaux terrestres ou aériens ne peuvent pas respirer sous l’eau car leur système respiratoire ne possède pas de branchies. Les animaux aquatiques peuvent respirer sous l’eau car ils possèdent des branchies. Le système respiratoire du poisson Lorsque nous avons disséqué le poisson, nous avons pu découvrir le système respiratoire du poisson (illustration 5). Ce système respiratoire se situe sous un opercule, le poisson en possède 2, ce sont des plaques osseuses recouvrant

le débit ventilatoire augmente considérablement (peu passe de 5a 120L par min). Ce débit se calcul en x le volume d’air dans V appareil respiratoire lors d’une inspiration (volume courant) par le nombre de cycle inspiration, expiration par minutes (fréquence respiratoire). L’augmentation du débit ventilatoire est due à l’augmentation de la fréquence respiratoire et du volume courant. Le débit cardiaque et le volume de sang éjecte par le cœur dans les artères en 1 minute. Se débit cardiaque est égale

Bronchiolite aiguë du nourrisson •Maladies inflammatoires aiguës des bronchioles •Chez le nourrisson=> étiologie virale+++ –VRS, adénovirus, rhinovirus, para-influenza, métapneumovirus... •Toxiques ou caustiques Agent infectieux : VRS •Virus Respiratoire Syncitial (VRS): 60 à 90% •Pneumovirus •Deux souches (A et B) •Transmission par gouttelettes (1m80 max) •Contagiosité importante •Surface – 30 minutes mains 3h sur gants – 7h sur surfaces inertes •460 000 enfants/an •De moins de 1 an (90%) •Épidémie

l'intérieur des cellules, dans le cytoplasme, c'est-à-dire en dehors du noyau de la cellule. L'atrophie optique de Leber survient lorsqu'un des gènes mitochondriaux sont altéré. Les gènes mitochondriaux permettent de fabriquer des protéines de la chaîne respiratoire nécessaires pour la production d'énergie. Ce serait le gène NMNAT1 muté, serait à l’origine d’une erreur dans la séquence de la protéine du même nom. Cette protéine causerait le dysfonctionnement et la mort des cellules photosensibles de la rétine