Vizir

sous la forme d’une mehalla, littéralement, « arrêt sur la roue », « camp », « halte », soit sous celle d’un harka, « mouvement », « agitation », « action », la première relevant du gouvernement, la seconde du militaire. Requis pour soigner le grand vizir dans la m’halla de Sokhrat Ed-Djeja8, le Dr Weisgerber9 avait vu passer le sultan. « Une troupe de cavaliers du guîch10 et de 3 R. Jamous, Honneur et baraka. Les structures sociales traditionnelles dans le Rif, Paris, Éditions de la Maison des sciences

Al-Kindi dans son lieu de retraite où il était en compagnie du rabbin Ibn Shushana, de deux importants négociants de la Vieille Ville, de l’un des ulémas les plus influent et du traducteur anglais Hastings. Plusieurs semaines après l’arrestation, le vizir Ibn Tufayl annonça que le marchand Al-Kindi avait succombé aux blessures qu’ils avaient reçues lors de l’arrestation. Ibn Shushana fut exécuter peu de temps après, mais il eut le temps juste avant sa mort de confier à Moshé des indices pour retrouver

Rabelais Origine : roman de Jules Verne où il est question d’une situation d’embarras qui se traduit par la recherche d’une solution ingénieuse. Actuel : l’heure, le moment propice. Le rendez-vous de Samarkand Origine : rendez-vous fixé par le vizir de Bagdad à son calife auquel il supplie de le laisser partir car la Mort est à ses trousses et il veut lui échapper. Actuel : rendez-vous avec son destin Tomber de Charybde en Scylla Origine : dans l’Iliade et l’Odyssée d’Homère, Ulysse traverse

réduit. Là, content du petit produit D’un grand travail, sans dette et sans soucis pénibles,Le bon vieillard, libre, oublié, Coulait des jours doux et paisibles, Point envieux, point envié. J’ai déjà dit que sa retraite Masquait le devant du palais. Le vizir veut d’abord, sans forme de procès, Qu’on abatte la maisonnette : Mais le calife veut que d’abord on l’achète. Il fallut obéir, on va chez l’ouvrier, On lui porte de l’or. Non, gardez votre somme, Répond doucement le pauvre homme ; Je n’ai besoin de

même qu’elle permet de manger des animaux qui ont le pied fendu (chapitre IV). Sont arabes aussi, au chapitre VI, les «vizirs» (ministres) et le «divan» (conseil des ministres présidé par le roi ou par le premier vizir). Mais «itimadoulet» (chapitre VI) est le nom du grand vizir dans la Perse moderne par lequel Voltaire désigne un satrape. La cour du roi de Babylone, qui est appelé «le roi des rois» (chapitre III), nom que les Grecs donnaient au roi de Perse, compte des mages, des archimages

voluptueux, et se livrant dans son harem à ses passions les plus brutales. De ce fait, surtout soucieux des intrigues du harem, le despote ne s'occupe guère des affaires politiques ; il se contente de nommer un vizir à qui il abandonne la réalité du pouvoir politique. Mais à son tour, le vizir délègue le pouvoir absolu à ses subordonnés ; et on a ainsi de suite une délégation permanente du pouvoir jusqu'au simple sujet. Le despotisme est donc une hiérarchie verticale de pouvoir absolu, toujours détenu

pauvres qui en devenant scribes finissent par accéder a de hautes fonctions . I ] L'administration centrale . A sa tête il y a le roi , accompagné d'un grand vizir qui l'assiste dans toutes ses taches . Au départ ce sera très souvent le fils aîné de pharaon , coutume qui avec le temps sera de moins en moins pratiquée . Aux cotés du vizir on trouve des conseils : . Un conseil du roi , qui se divise en conseil aux affaires générales et deux conseils , un de la législation et un qui a des attributions

distinctions. Dans ces conditions, tout grand commis de l’État considère la peine capitale comme la fin plausible de sa carrière. À commencer par le grand vizir -Vizir : vocabulaire p.116 + Sublime Porte : vocabulaire p.120, premier des dignitaires, élément central de l’État… et extrêmement fragile vis-à-vis du sultan. Cf Ibrahim Pacha grand vizir de Suleyman qui devient son gendre avant d’être exécuté en 1536. b. Des influences multiples pour un Empire multinational et multiconfessionnel ▪ Un empire

confiait à plusieurs, il y aurait des disputes entre eux; on ferait des brigues pour être le premier esclave; le prince serait obligé de rentrer dans l'administration. Il est donc plus simple qu'il l'abandonne à un vizir  qui aura d'abord la même puissance que lui. L'établissement d'un vizir est, dans cet État, une loi fondamentale. On dit qu'un pape, à son élection, pénétré de son incapacité, fit d'abord des difficultés infinies. Il accepta enfin et livra à son neveu toutes les affaires. il était dans

turcs et ces sarrasins évoqués dans le texte ? Nous avons vu que la dynastie Abbasside est chassée en 1078 par les Seldjoukides, mais ce n'est pas contre ces derniers que combattrons les armées croisées. En avril 1097, lors de la première croisade, le vizir Al-Afdal Shâhânshâh (« le Meilleur ») reçoit les envoyés d’Alexis Ier Comnène qui lui annonce l’arrivée des chevaliers francs à Constantinople et leur offensive en Asie Mineure. Il transmet à l’empereur ses vœux de succès. Il le félicite après la chute