Vitruve

de la composition est la référence, explicite chez Ledoux, au théâtre antique. Selon Anthony Vidler8, « il faut littéralement interpréter la Saline comme un théâtre, puisqu’elle épouse les lignes de l’amphithéâtre antique, tel qu’il est décrit par Vitruve et illustré par Perrault », dans l’ouvrage publié 1673, que Ledoux a étudié en détail9. Comme le théâtre de Besançon, dont la salle révolutionnaire rompt avec le théâtre à l’italienne et deviendra le modèle de la salle de théâtre « moderne », la forme

mais sera tout de même préservé. Traité de la peinture : Dans cet ouvrage, Léonard de Vinci explique les principes et les règles qui régissent la peinture. Léonard de Vinci L’homme de Vitruve (1487) Ce croquis illustre les « divines proportions » humaines. En fait l’Homme de Vitruve est plus qu’une jolie image .c’est aussi une brillante démonstration mathématique, puisqu’il fait le lien entre les proportions de l’homme et des mesures historiques, comme le pied (six pieds faisant

Il ne nous reste que quelques fragments de cette vie théâtrale : quelques monuments plus ou moins bien conservés, des pièces (en nombre infime au regard de l'extraordinaire activité dramatique des auteurs latins), quelques écrits théoriques (comme Vitruve, qui, dans le livre V du De Architectura traite des endroits propices à la construction des théâtres, de leur architecture et de leur acoustique). Comme le prouve la programmation actuelle des saisons théâtrales, le répertoire antique et surtout

se donner comme projet d’imiter la création de Dieu, en puisant dans le code esthétique gréco-romain. Selon les artistes de la Renaissance, la nature donc l’homme aussi est une création divine qu’il faut représenter fidèlement. • « L’Homme de Vitruve » de Léonard de Vinci : l’homme, création parfaite et divine avec proportions idéales, représenté au centre du carré (symétrie, régularité) et du cercle (harmonie) = perfection, équilibre. • « Essais » de Michel de Montaigne (1580) : pense en toute

exempts de mièvrerie. Vignole (1507-1563), un des plus importants architectes italiens, avec Andrea Palladio, de la seconde moitié du XVIème siècle. Il fut lui aussi l'auteur d'un traité, référence des élèves architectes pendant plusieurs siècles. Vitruve, architecte latin du Ier siècle av. J-C, il dédia à l'empereur Auguste le seul traité connu d'architecture antique, "De architectura", qui fut redécouvert par les architectes de la Renaissance. Germain Soufflot (1703-1780) : architecte initial de

énergie sublime s’étendant à tout l’Univers. Ce principe créateur n’est-il pas représenté par l’Etoile Flamboyante ? Cette source de lumière et de chaleur sans laquelle la Vie ne serait pas. Cette étoile à 5 branches me rappelle assez l’homme de Vitruve dessiné par De Vinci et est construite sur base du nombre d’or, ce qui la rend harmonieuse à nos yeux. Et n’est-elle pas là pour nous guider sur le chemin de la Connaissance et de la Vraie Lumière ? 

vécu {text:bookmark} [2]. C'est d'abord comme peintre que Léonard de Vinci est reconnu. Deux de ses œuvres, La Joconde et La Cène, sont des peintures très célèbres, souvent copiées et parodiées {text:bookmark} [1], et son dessin de l’Homme de Vitruve est également repris dans de nombreux travaux dérivés. Seules une quinzaine d'œuvres sont parvenues jusqu'à nous ; ce petit nombre est dû à ses expérimentations constantes et parfois désastreuses de nouvelles techniques et à sa procrastination chronique

Renaissance Ces boulversements ont plusieurs origines: influence de l'Humanisme au niveau des sujets (sujets antiques, mythologiques...) mais aussi des techniques (représentation du corps humain réalisé suivant les règles de l'architecte romain Vitruve et l'usage de plus en plus courant des maths, de la géométrie dans la réalisation des tableaux) invention de nouvelles techniques artistiques → au 14ème siècle, on invente la peinture à l'huile le rôle des grands mécènes qui financent

proportionnées. Les exemples sont nombreux et riches : La Naissance de Vénus de Botticelli, Le Martyre de Saint-Sébastien de Mantegna. On trouve même une étude de proportions du corps humain, un dessin de Léonard de Vinci à la plume : l’homme de Vitruve (1492). Chez ce maître de la Renaissance, la représentation de la figure humaine correspond à un long travail d’observation anatomique, retranscrit ensuite dans la minutie descriptive du trait dessiné. Léonard de Vinci a peint des visages admirables

grand savoir faire. Les peintures sont réalisées dans les moindres détails. Le beau est une question de jugement et une œuvre d’art est jugée belle pour l’homme lorsqu’elle respecte les proportions, lorsqu’elle représente la réalité. « L’homme de Vitruve » de Léonard de Vinci en 1492 est la preuve du critère de beauté universel dans les proportions parfaites du corps humain, prouvées mathématiquement par le nombre d’or. La représentation de la beauté dans l’art a évolué dans les sujets mais est