Vitruve

en faisant converger toutes les lignes de la scène vers un point de fuite. La théorie est mise en place par Léon Alberti et ajoutée aux réflexions sur le nombre d’or et la théorie des proportions représentée par Léonard de Vinci avec l’Homme de Vitruve. B- L’ART COMME AFFIRMATION DE PUISSANCE Les Rois, les Empereurs, les princes et même le Pape utilisent les artistes pour renforcer leur image de Prince moderne qui défend les Arts et les Humanités. Par le mécénat, les Princes et même les riches

situe au centre du monde, et non pas Dieu. François Premier, grand défenseur de l’humanisme, fit venir d’Italie un génie humaniste, Leonard de Vinci. Parmi ses œuvres les plus célèbres, on trouve le «  Shéma des Proportions de l’Homme d’après Vitruve en 1490 «  , qui représente l’homme au centre du savoir. Cette représentation de l ‘homme nous ramene aux statues grecques, en raison de la nudité et du physique de héros, par opposition aux représentations religieuses d’ hommes martyres. Donc

du visage (cela nous indiquerait que les gène de l’individu observé sont sains) et cherchant une proportionnalité entre les membres. Léonard De Vinci a d’ailleurs très bien illustré la symétrie et les proportions du corps humain avec « l’homme de Vitruve ». [pic] Parlons maintenant du lien qui existe entre la survie de l’Homme et les mathématiques. Dans la vie de tous les jours, inconsciemment ou consciemment, chacun modélise le réel en vue de se représenter les dangers potentiels

l’héliocentrisme devant l’Inquisition en 1633), le baroque substitue à la stabilité et à l’objectivité de la Renaissance un art du mouvement et des illusions. En réaction à la ligne droite, la courbe devient prédominante. Aux proportions de l’homme de Vitruve répond un art étonnamment maîtrisé du trompe-l'œil. De l’aveu de l’historien de l’art Elie Faure, la « maniera » de Raphaël avait entraîné ses successeurs vers une « chute » : la libération formelle maniériste qui se déploie dans l’Italie de la seconde

pour mieux avancer, savoir encyclopédique que Budé définit comme « érudition circulaire », on pense également au célèbre tableau de Léonard de Vinci qui fait entrer l’homme dans les proportions du cercle dont le centre est le nombril : L’homme de Vitruve. II – Les thématiques clefs de l’humanisme A – La foi en l’homme : en développant ses qualités intellectuelles et morales, l’homme, nous enseigne l’humanisme, va pouvoir connaître le bonheur d’une existence libre, c'est‐à‐dire où le lettré

peintre italien et un homme d’esprit universel, à la fois artiste et scientifique Autoportrait de Léonard de Vinci fait entre 1512 et 1515 Leonar de Vinci a fait l’un des premiers dessins scientifiques d’un fœtus dans l’utérus Homme de Vitruve vers 1490 Comme artiste, il est rapidement devenu maître de l’anatomie topographique, en s’inspirant de nombreuses études des muscles, des tendons et d’autres caractéristiques anatomiques visibles. Il pose les bases de l’anatomie scientifique

adhérence puis vieux = les liens se relâchent et lorsqu’ils se séparent ils libèrent l’âme.Cicéron  : la plus belle figure est la sphère, qui contient en elle toutes les figures. 4. LE CANON (PLYCLÈTE ET VITRUVE)Polyclète, Le Doryphore  : · La perfection s’obtient par de nombreux calculs et dépend d’un rien· La valeur est autour du petit· La réalisation est le plus difficile quand l’argile est dans l’ongle· La perfection résulte d’un grand

perspective. Vinci estimait que les arts picturaux forment une science {text:bookmark} [49]. Mais l'utilisation, souvent supposée, du nombre d’or dans son œuvre n'est pas avérée {text:bookmark} [50]. Son travail sur les proportions, à l'image de l’Homme de Vitruve, se limite à l'usage de fractions d'entiers. Parmi les œuvres créées par Léonard dans les années 1500 se trouve un petit portrait connu sous le nom de La Joconde (1503-1506) ou de, notamment pour les anglophones, « Mona Lisa ». Le tableau est connu

comme anatomiste dans la perspective, ayant connu un essor important lors de la Renaissance, de trouver une règle, un idéal, basé sur les proportions parfaites de l’homme, le nombre d’or, avec les recherches notamment de Da Vinci et son Homme de Vitruve. C’est avec le courant moderne que va s’instaurer en distinction avec le nu, la notion de déshabillé, représentant désormais l’intimité prise dans la réalité. Le nu n’est de ce fait plus idéalisé ni atomisé, mais perçu réellement. C’est ainsi

découvre de « nouveaux mondes ». Cette curiosité amène à retraduire les traités de médecine des Anciens (d’Hippocrate, par exemple). Cette curiosité se marque aussi dans les arts : l’homme devient le centre de la peinture comme l’homme de Vitruve, de Léonard de Vinci ; le motif du nu manifeste aussi la place primordiale de l’exploration du corps humain. L'humanisme s'ouvre aussi sur les autres à travers l'éducation. Le thème de l’Éducation est souvent abordé dans les textes littéraires