Violence Sur Scène

Lecture Analytique 2 - Phèdre, Acte II, scène 5 Vers 634 - 711 Alors que la mort de son époux semble de plus en plus certaine, Phèdre s’entretient avec Hippolyte dans le but de parler de la succession qui peut s’ouvrir. Cette scène débute donc par une discussion politique entre la reine et son beau-fils mais, petit à petit, par un glissement psychologique lié à la passion, Phèdre en vient à livrer avec horreur ses sentiments personnels : c’est le second aveu de la pièce, l’aveu d’un amour incontrôlé

beaucoup jouer un rôle dans la propagande nationaliste. Or si Synge montre bien des Irlandais authentiques, il est difficile de les qualifier d’Irlandais exemplaires. Les critiques de l’époque se sont donc offusqués de leur grossièreté et de leur violence qui non seulement n’idéalisent pas les paysans irlandais mais selon eux déforment la réalité. Selon eux, le mot « shift » déclencha le vacarme car de nombreux spectateurs savaient que ce mot n’aurait jamais été employé par des paysans. La critique

qui la possède. Mais le père de Léandre; Géronte, est très avare. Scapin va donc devoir ruser pour aider son jeune maitre. Dans la scène 2 de l'acte III Scapin persuade Géronte de se cacher dans un sac en lui disant qu'un homme veut sa peau et en profite pour le rouer de coups de baton . Les gestes exagérés de Scapin, les cris de Géronte et le quiproquo rendent la scène comique. Tous les procédés comiques rendent l'oeuvre plus légère et donc plus heureuse. Une oeuvre littéraire peut parler d'un

l’Antiquité l’effet dévastateur de la vengeance et de la passion. Dans la version de Pierre Corneille, créée en 1635, Médée ne cède pas de suite à la vengeance, et c’est après une discussion avec elle-même qu’elle laisse éclater sa colère. La présente scène 6 du dernier acte de Médée de Corneille, nous évoque la mort de Médée, après que celle-ci ait tué ses enfants, en présence de son mari Jason. Nous pouvons nous demander en quoi Médée représente un personnage plus complexe qu’il n’y parait, pris au

allons étudier est le chapitre trois, le personnage traverse un village ravagé par la guerre qui sévit à ce moment-là. Nous pouvons nous interroger sur le message que veut faire passer Voltaire à travers ce passage. Nous montrerons d'abord que la scène est présentée comme un spectacle agréable, qu'on découvre ensuite les horreurs de la guerre et pour finir nous chercherons comment l'auteur critique-t-il le principe de cette guerre. Introduction de l'axe : A travers cet extrait de Candide

dépouilles », « ôter les vie », « guerre »… Cela ne fait qu’accentuer l’imitation de l’épopée puisque le combat en est le thème central, et que la violence était la caractéristique principale de ces combats. Dans ce chapitre, Cervantès appuie également sur cette violence : « une furieuse […] bataille », « le vent la fit tourner avec une telle violence qu’elle mit la lance en pièces ». Dans l’épopée, l’amplification épique était aussi requise. Elle fait partie intégrante du genre. A nouveau, Cervantès

comiques dans la scène. Je sais aussi que la comédie de Molière vise à « corriger les mœurs par le rire », je devrai donc réfléchir aux objectifs de Molière dans cette scène (de quel aspect de la société fait-il le portrait ? De qui se moque-t-on ?) • Le titre : il résume souvent l’argument de la pièce. On nous indique ici que la pièce porte avant tout sur la condition hypocondriaque du personnage principal. On nous aiguille vers un comique de caractère. • La place de la scène dans l’œuvre :

parler de la nature, apparaissent serpents et satyres : présence inquiétante, qui rappelle les « images » de violence des illustrés, et les faits divers, interdits à l’enfant comme le furent plus tard les journaux grivois. Le long circuit de ce paragraphe ainsi résumé, laisse entendre que la crainte qu’éprouve l’enfant est liée à l’appréhension d’une violence extérieure ; mais que cette violence n’est peut-être que la manifestation de quelque chose d’agréable, mais d’interdit ; et que corollairement

dehors de la religion et meurt donc en martyre .. I- Dimension Épique : Péplum Un péplum raconte l'histoire d'un personnage mythique (dieu, demi-dieu, gladiateur etc …) . Le film se déroule avec les costumes, le décor de l'époque, il met en scène un monde amplifié (exploits guerriers). La reconstruction historique (décors, mode de vie, monuments, costumes, côté grandiose …) est parfaite. Le mélange des cultures apparaît nettement (louve romaine dans le temple Égyptien). Un effort est fait

1) comment? -en mettant en scène des rois, des tyrans *plusieurs figues de rois *pouvoir exercé par quelqu'un sur d'autres *scène de groupe -le décors, accesoires, costumes *Egiste, les mouches--> costume gris, type financier *Ubu roi, A.Jarry--> togfe qui porte a rire, courroné *inventaire des costumes dans les didascalies initiales -mot représenté renvoit a une idée abstraite ùdes élements, des personnes qui lui donne une épaisseur nécessaire pour la mise en scène *des élements: Décors Ubu Roi