Violence Sur Scène

conservée au musée des Offices,  à Florence. Cette toile est une peinture assez sombre, dans les tons marrons foncés, blanc, rouge et bleu. Nous ne pouvons pas exactement désigné le lieu de la scène mais nous pouvons déduire que celle ci se passe dans une chambre étant donné la présence du lit.Sur cette scène, nous voyons trois personnages : deux femmes et un homme. Je pense que l'homme est mis en avant par la visibilité de ses yeux qui, en plus, regarde le public. En revanche, je ne vois pas de plans

en battant à mort la mère et ses nouveau-nés. Ainsi préparés au déchaînement d'une violence aveugle et implacable, nous assistons dans ce passage à la vengeance sanglante du comte. Dans un premier temps, nous analyserons les procédés du récit, pour observer ensuite comment Maupassant parvient à rendre l'intensité de l'action, enfin nous nous attacherons à étudier les curieux personnages que ce passage met en scène. I. Le récit Trois caractéristiques principales sont constitutives du récit:

acte II, scène 2 ( polycopié) 1) La situation Les rapports de la domination Une scène comique Introduction: Scapin est un valet, et les valets sont très souvent mis en place dans les pièces de théâtre de cette époque, mais ils ont souvent un second rôle. Scapin vient de Scappino ( Italien) , c'est a dire un valet fourbe, insouciant et cupide. ( Commedia del arte). Scapin est ici un lien entre comédie médiévale et commedia del arte. La scène est étudiée

La plupart de ces fables mettent en scène des animaux, et contiennent une morale placée au début ou à la fin. En 1668, La Fontaine fait paraître le premier recueil de ses fables, duquel est extrait Le loup et l'agneau. Elle met en évidence une réalité cruelle : le dialogue entre le loup et l'agneau relate le comportement de celui qui abuse de sa force, en cherchant à s'en justifier. Après lecture du texte, nous pouvons nous demander comment l'auteur met en scène la fable du pouvoir. Pour cela , nous

inventés), auquel se mêlent des borborygmes, des toussotements : tout cela suscite le rire mais aussi l’inquiétude face à la brutalité et à la violence du discours qui ressort à travers les gestes, le ton, le regard de fanatique de Hitler. = parodie des discours de Hitler pour la théâtralité des gestes, le ton vindicatif, mais cela est exagéré par la violence sur les micros (qui se plient de terreur quand Hynkel s’emporte contre les Juifs) et aussi tourné en ridicule. Chaplin dénonce le contenu

guerre gagnée face aux Maures. Ce titre signifie seigneur. 7-Une scène à part : les stances du Cid A/ Le nombre de syllabes par vers est : 10 ; 12; 12 ; 12 ; 12 ; 6 ; 10 ; 6; 10 ; 10. Les rimes sont embrassées sur les 4 premiers vers, elles sont suivies sur les 2 vers suivants et croisés dans les 4 derniers vers. B/ Un dilemme cornélien est un dilemme entre l’amour et le devoir. On remarque clairement un dilemme cornélien dans cette scène car Rodrigue doit choisir entre venger son père pour l’honneur

Commentaire composé : Racine : Andromaque : Acte III scène 8 Texte étudié : ANDROMAQUE Dois-je les oublier, s'il ne s'en souvient plus? Dois-je oublier Hector privé de funérailles, Et traîné sans honneur autour de nos murailles? Dois-je oublier son père à mes pieds renversé, Ensanglantant l'autel qu'il tenait embrassé? Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle. Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants

le réalisme passe par la description. La description nous permet de nous faire une idée sur les décors, les personnages, sur les scènes en général de l'œuvre, elle est donc très importante pour l'auteur qui veut nous dépeindre une scène. Le mieux on se représente la scène, le mieux on y crois. Pour l'auteur réaliste, la description est donc un passage important. Balzac est un auteur reconnu notamment pour ces longues et minutieuses descriptions. Adieu n'échappe pas à la règle. On peut observer tout

qui définit la cadence du texte- dramatise l’entrée de Frère Jean, on s’attend à quelque chose de marquant, d'époustouflant, crée du suspens½ - “bâton de la croix" et “ long comme une lance”comparaison- évoque les tournois -> on s’attend à de la violence et de l’intensité, Rabelais préfigure les événements qui suivent1 - “bâton de la croix”antithèse, ironie- symbole de la paix religieuse et de de l’amour chrétien, mais désacralisé, frère Jean s’en sert pour se battre et tuer -> personnage qui

idée serait Salle d'Attente, mis en scène par Kristian Lupa. On y voit des individus perdus, et on comprend assez vite qu'une des préoccupations du metteur en scène n'est certainement pas de respecter la règle de bienséance. Tout au contraire, le spectateur est invité à être choqué, devant un langage parfois très cru, vulgaire, où la violence et même la nudité règne sans pudeur. Pour évoquer une autre pièce, on pourrait également citer Je Disparais, mis en scène par Stéphane Braunschweig. Il y a une