Violence féminine

professionnelles influentes de l'époque : la justice et la médecine. Puis, dans une seconde partie, nous montrerons comment les privilèges sont critiqués et l'influence du libertinage et enfin, dans une troisième et dernière partie nous observerons la condition féminine au 18eme siècle. Plan : I-Critique des professions a)La justice b)La médecine II-Differences de satut social a)dénonciation des privilèges b)Le libertinage et l'ordre social I-Critique des professions a)Le

de la citoyenne LA n° 2 Introduction : écrit peu de temps après la Révolution Française ; peu d’évolution pour la femme : OG veut l’égalité des sexes Problématique : Comment l’auteure affirme les revendications féminines ? 1. Une dénonciation émue de la condition féminine a. Le pouvoir des hommes sur les femmes •Un ton passionné pour définir les droits des femmes : dénonciation de la primauté masculine ; utilisation du lexique politique pour montrer le pouvoir des hommes sur les femmes

de la question de l’homme, quatre documents nous sont proposés à la réflexion. Chacun des textes nous renseigne sur la condition féminine à différentes époques. Il s’agira doncpour nous de comparez les différentes stratégies argumentatives utilisées pour s’interroger sur la place de la femme dans la société. Les 4 documents traitent tous de la condition féminine mais àtravers différentes stratégies argumentatives : Tout d’abord on remarque que les textes de Voltaire, Olympe de Gouges et Simone

sensible pour la Haute-bourgeoisie, L’harmonie sociale est au cœur de la nature humaine ;la domination masculine. La condition masculine est aussi une construction sociale. Et un certain nombre de chercheurs sont partis du principe que si la condition féminine était imposée aux femmes on pouvait aussi considérer que la masculinité était aussi une contrainte imposée aux hommes. On a s’intéresser à la manière dont se construisent les stéréotypes. Toutes les institutions de la vie sociales participent à

La condition féminine aux XVIe et XVIIIe siècles Je pense qu’on ne peut pas vraiment parler de liberté féminine entre le XVI et le XVIIe siècle car les femmes n’avaient pas vraiment le choix de faire ce qu’elles voulaient. Il y a certainement eu quelques progrès mais dans l’intérêt de l’homme et non de la femme. L’éducation de la femme devait être sous le contrôle de l’homme. Au XVIe siècle, il est vrai que les humanistes ont commencé à se préoccuper de l’instruction des femmes issues des

l’homme. » Selon certains points de vue, la femme serait donc assujettie à l’homme. Un retour dans le passé sera nécessaire pour analyser l’évolution de la situation de la femme jusqu’à nos jours. Cette critique permettra d’envisager la condition féminine dans le futur. Tout d’abord, la condition actuelle de la femme est en pleine évolution. En effet, de plus en plus de femmes apparaissent dans le monde de la politique, de la justice et même dans certains postes de direction d’entreprises. De plus

Le plaisir de la lecture ne passe pas forcément par l'identification au personnage principal. Le personnage principal est celui qui est au cœur de l'action. Le lecteur suit donc son évolution puisque l'histoire est centrée sur lui. Au début de l'histoire, on chercher à le connaître, à le comprendre, on suit ses aventures, sa vie. Il est mis en valeur par différents procédés et certaines fois, par des procédés péjoratifs et c'est pour cela que souvent le lecteur n'arrive pas à se mettre à sa place

veulent apprendre, ne pas rester toute leur vie a faire le ménage la cuisine et ce taire). Ils avaient pris conscience de la condition féminine et mentionnaient déjà l’idée d’une certaine émancipation. À la Renaissance, les femmes aristocrates commençaient ponctuellement à s’élever contre la domination masculine. Elles se réunissaient également au sein de salons féminins pour en parler. En France : En 1767, Nicolas de Condorcet qui joua un rôle majeur part la suite dans la révolution française soutenait

 « La condition féminine » Questions sur un corpus Le premier document est un extrait issu d’un ouvrage de L.S. Mercier, nommé Tableau de Paris. Il fut réalisé entre 1781 et 1788. Mercier y fait preuve d’une réflexion peu habituelle en ce qui concerne les droits des femmes et de la façon dont on devrait les considérer. Le second document, de G. Sand, est extrait de Histoire de ma vie, parut en 1855, et qui retrace la vie et les impressions de l’auteur. Dans l’extrait étudié, G Sand s’indigne

Les changements sociaux touchent tous les domaines sous la domination britannique. La condition féminine dans la société victorienne constitue un paradoxe existant alors entre la puissance et la richesse de la nation britannique et de la misère sociale qui prédomine le pays. Au cours de cette période, le statut de la femme s'est compliqué à cause d'une idée qui est celui de « l'idéal féminin » Les droits de la femme mariée sont similaires à ceux de l'enfant mineur. Elles n'ont pas le droit