Violence féminine

d'assonance «  vapeur et candeurs » "E"blanc, le féminin, l'innocence, la pureté est associée à "vapeur", "glacier", "ombelles" Pour le I : « I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; » Dominance de rouge , Le I renvoie au rire des filles (lèvres belles) mais est aussi un son aigu, agressif, renvoyant au sang . « Sang craché » = tuberculose , maladie. Le I revoie aussi a la violence par la symbolique des couleurs Pour le U :

Les Femmes Criminelles en Bretagne au XIXe siècle Si la Bretagne est un cas particulièrement significatif de la criminalité féminine du XIXe siècle, c'est parce que la région est parfaitement représentative de la France d'alors : un territoire encore largement rural, dans lequel règnent traditions, mœurs et modes de vie, dont le poids se révèlera insupportable, notamment aux femmes donc, qui deviendront capables des pires dérives. De nombreux facteurs peuvent être désignés explicatifs de ces

 Extrait de Indiana de Georges Sand OBJECTIF : montrer le décalage entre le rêve romantique d'Indiana et la réalité de la condition féminine au XIXème siècle (environ 1830) I-Elements de biographie sur Georges Sand *vrai nom : Aurore Dupin * A l'époque : femme est considérée comme une mineure, sous la responsabilité de son mari, son père, son frère,... La femme ne décide rien de son destin. -Aurore se révolte contre cela, elle porte des pantalons et va jusqu'à fumer le cigare

transmises sexuellement sont seulement quelques une des maladies ou danger que la prostitution pourrait apporter. Le crime organisé étant souvent impliqué dans les différentes activités de la prostitution, la violence est un danger constant. Que ce soit la violence commis par les clients, ou la violence commis par les ₺pimps₺, le risque est grand. La drogue est un autre facteur important à considérer lors du débat sur la légalisation de la prostitution. Puisque le crime organisé est souvent impliqué dans

de rares cas d'isolement extrême, de refus de toute aide quelle qu'elle soit que cette « adaptation à l'interlocuteur » disparaît. Pour la bénévole, les codes et réactions sont similaires à ceux qu'adoptent les prisonniers. « Il y a une certaine violence, exacerbée la nuit, comme celle que l'on retrouve en prison. Il faut montrer que l'on sait être très violent pour gagner en tranquilité. Il y a également des histoires de territoires, de loi du plus fort, et de femme aussi parfois. » Les femmes qui

101 « Mes frères, vous êtes dans le malheur, mes frères, vous l’avez mérité. » Othon : C’est un juge, son fils meurt de la peste, celui-ci a été le premier a testé le vaccin de Castel. ; Mme Rieux : La mère de Rieux, elle incarne la seule présence féminine durant tout le long du roman. ; La femme de Rieux ; M.Michel : Le concierge de l’immeuble de Rieux, c’est le premier personnage a être atteint de la peste et a en mourir ; Castel : Il invente un vaccin contre la peste. Résume : Première partie :

psaume, qui exprime une grande violence, a été exclu de la prière de l’Eglise : serait-ce le signe d’un déni de la violence contenue dans les textes sacrés ? D’un refus d’admettre la violence, qui serait une forme de reconnaissance de ce qui doit rester caché? D’une crainte que le texte ne permette pas une reprise de la violence dans l’espace sacré ? Qu’il engendre la violence plutôt que d’en préserver l’espace social? D’un déni qui empêche toute confrontation à la violence ? Dans les lectionnaires liturgiques

est né a Colombus (Mississippi),le 26 mars 1911. il a passé son enfance avec sa mère et sa sœur Rose, chez son grand père (pasteur). Son père, qu'il détestait, était voyageur de commerce, donc presque toujours absent. Son éducation fut alors très féminine. L'absence de son père ne pouvais que renforcé l'amour qu'il éprouve pour sa mère et sa sœur. A l'age de 26 ans, il rompt tout lien avec sa famille. Sa sœur Rose, Schizoprène, subit une lobotomie qui la laisse très diminuée. Refusant de la voir,

éclairs…) mais aussi par les allitérations en « r » qui rappellent le grondement. Tout ceci contribue à montrer Milady sous un aspect terrifiant. (Dangereuse)Par ailleurs, ce comportement proche de l’hystérie (maladie alors connue comme typiquement féminine au XIXe siècle), laisse entrevoir le caractère dangereux du personnage. En effet, la folie pourrait l’amener à des actes irraisonnés. Ceci est d’autant plus accentué que Milady est comparée à « un serpent fatigué qui se repose ». Cependant, après

« yeux si doux », « pouvait être une jeune fille déguisée », « teint si blanc », « joues si pâles », « grosses larmes », « joues si roses », « beauté du teint », « grands yeux noirs », « jolis cheveux », « air timide ») - insistance sur l'aspect féminin de Julien (pt de vu de Mme de R.) → aspect doux L'image de Mme de Rênal - Julien est frappé par: l'élégance vestimentaire (« aussi bien vêtue », « si bien vêtue »), l'éclat du visage (« regard si rempli de grâce », « un teint si éblouissant »)